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Le concept de l'économie solidaire est une approche expérimentée et même déjà vérifiée dans divers pays de l'Amérique du sud comme le Brésil , la Bolivie entre les années de crises et aujourd'hui (1980-2010). Cette pratique est une organisation économique, autour des producteurs collectifs dans l'intérêt du groupe et de la solidarité.Nombreux l'assimilent à l'économie sociale également par le simple fait que cette pratique tient compte des données sociales partant de la production des biens et services jusqu'à leur distribution; ainsi l'on parle de l'économie solidaire et sociale.

  En Afrique les expériences concluantes sont visibles dans les pays comme le Burkina et le Mali qui dans leurs politiques de développement ont fait usage de cette organisation autour d'un produit ou unités de production pour en fait tenter de résorber le chômage des jeunes et de la paysannerie.

   Ce que je désire faire saisir ici, est le fait que certains pays d'Afrique au du Sahara n'intègrent pas encore cette logique dans les processus de développement de manière à tenter de répondre à l'épiphénomène de la délinquance des jeunes désoeuvrés.

     Les coopératives agricoles, les regroupements d'artisans et autres formes d'assemblage de synergies sont des stratégies au mieux des politiques que devraient mettre en application les différents gouvernements en charge de la question de l'insertion et donc du chômage.

   La crise de l'emploi est due comme tous nous le savons en Afrique à l'incapacité du secteur public d'intégrer tout le flux des diplômés sortants des écoles de formations, aussi du manque des structures dans le privé puisque le taux de celui-ci dans le tissu productif étant faible. Faire que les nouvelles politiques de lutte contre le chômage prennent corps dans les différentes décisions des gouvernements est impératif. Certes qu'il ne suffit pas que de cela; mais au delà il demeure que la volonté politique y adhère.

   L'économie solidaire et sociale, est cette manière de fédérer les énergies selon les secteurs de production et les métiers, pour que de façon très équitable les "input et output" dans le processus de rentabilité servent à leurs géniteurs; étant donné la non exclusion des divers circuits de distributions qui au final restent en contact des consommateurs.

   L'hypothèse actuelle, de l'économie solidaire et sociale connaît un succès à ce jour irréfutable, n'est-il pas possible de vérifier son applicabilité au Congo? 

    La notion de développement est entendue ici dans un sens purement économique, car il est question de l'économie informelle; qui fait la vie des petits peuples au sein d'un ensemble où l'économie est basée sur la vente des ressources naturelles.

    Le Congo Brazzaville est cet état où la prospérité s'identifie à partir de la vente du bois et de la rente pétrolière. L'industrie de base étant inexistante à la sortie de la guerre de 1998, les populations actives ont imaginé des systèmes de productions archaïques pour faire face aux nombreuses difficultés de la vie courante. La croissance économique est d'environ 12% mais il y'a des épiphénomènes que la mesure statistique ne peut contenir du fait des aléas de la circulation des biens et services sur un type de marché. Nous parlons de l'économie informelle qui, au congo, occupe les citoyens. Chacun veut être opérateur, acteur, et principal promoteur dans des activités que seul l'acheteur ou le vendeur maîtrise l'empleur. Le commerce informel est acte qui échappe au contrôle des structures douanières et finacières, au point qu'il est inadmissible pour une économie d'en vanter les mérites.

        Il est à remarquer la floraison de cette pratique dans les grandes villes du congo, puisque l'état n'arrive pas à faire asseoir une règlementation en vigueur pour endiguer ce développement. Ici et là l'on voit pousser de manière anarchique des petits commerces ou affaires souvent tenus par des personnes qui n'ont aucune formation et donc qui se débrouillent. cette pratique qui occasionne la fraude fiscale et la non maîtrise des flux des "intrans et extrans" ; aucun aggrégat ne peut être dresser pour donner à ce pôle une forme. Quand peut-on parler de développement économique sinon de sa pesrpective?

      Dans le cas qui nous intéresse, il y a eu des cas dans des pays africains autres que le congo qui ont tenté de donner une impulsion aux praticiens de cette économie ; pour non pas régulariser mais entrainer les gens à une bonne gestion des recettes de cette économie de manière qu'elle contribue au développement de ce secteur et voir son décollage:(Burkina, Mali...). Apprendre à mettre de l'argent dans des  structures financières dans le but d'être utiliser plutard, est une pratique qui fait son chemin en afrique de l'ouest où l'informel est basique, au congo par contre la population a perdu la confiance vis à vis des institutions finacières depuis la fin de la guerre.

     Il est difficile pour les pouvoir publics d'organiser cette campagne étant donné que le secteur informel s'installe pour des besoins subsidiaires à la différence d'un pays comme le Maroc où ce secteur alimente les banques locales et contribue à la réalisation des programmes de développement; c'est le cas au Burkina et le Mali où certains programmes dans l'assainissement des villages en eau potable et refections  des écoles   ont vu le jour. Il est possible de penser à un développement si dans ce secteur économique la culture de la gestion des ressources en terme d'argent  s'implante. L'utilisation de celui -ci est une affaire des autorités dans un vaste programme de développement, une fois vulgarisé, aussi remettre en exergue une paratique consciente des déniers privés au point de donner une lisibilité et légitimité pour toute action.

      Loin d'être plus optimiste que ce qu'il y a sur le terrain, l'économie informelle est aujourd'hui un secteur non négligeable qui a son impact sur toute l'économie et il est juste d'en tenir compte dans l'idée qu'elle reste un indicateur probant de l'état d'un pays; et sa contirbution au développement hors les 12% de croissance actuelle devrait attirer certains investisseur locaux une fois cet argent inserrer dans le système reproductif des banques........(jul/03/010)

        La prospection faite lors d'un voyage à Brazzaville au Congo, sur la problématique de l'apport des congolais de l'étranger au processus de développement, nous amène à dire d'emblé qu'il est urgent de penser au développement des unités de productions ne serait ce que dans le secteur informel puisque c'est celui là qui est florissant. Le constat est déshonorant dans le sens que le tissus productif dans les secteurs de la petite industries est presqu'invisible. Le chiffrage de ces assertions n'étant pas disponibles force est de constater simplment qu'il ya intérêt de la  part des investisseurs potentiels de faire un effort d'aller créer. Comparativement à d'autres pays de la sous région (cameroun) ou même ceux de l'afrique de l'ouest (mali, boukina) le Congo d'aujourd'hui a besoin d'un souffle nouveau. Il est inadmissible d'attendre de l'état quelque chose quand nous pensons qu'en matières agricole et forestière les taxations dounières ont été revues à la baisse, il reste que les ceux qui le veulent et le peuvent n'ont qu'à tenter d'apporter des projets pour investir.

      L'association, par ce travail de prospection a voulu toucher du doigt cette récurrente problématique, pour en fait relever des informations sur des secteurs porteurs afin de mener sa campagne de management. Le développement agropastorale au burkina par exemple est tenu autant par les structures publiques et privés. Les congolais de l'étranger sont en nombre aussi suffisant ici en europe particulièrement en france, et si l'on regarde du côté des agences de transferts d'argents souvent ceux qui usent de ces structures le font pour des besoins vitaux: de santé de scolarité et d'aides simplement. Et aujourd'hui ces agences se développent dans ces pays. Toute cette manne ne profite pas à l'économie pour preuve ne finissant pas dans des projets de développement. Il ya par contre une forte concentration des moyens dans le sectreur des transports en commun;aussi donc l'informel dans le petit commerce du coin. d'où la non maîtrise de l'évasion fiscale.

      La dificulté se situe dans le mode d'opération des acteurs potentiels ou ceux qui se sont déjà lancés au sens où ils ne visent pas le long terme vu donc la pression vitale en face des membres de la famille et diverses connaissances. si les promoteurs et créateurs poteniel pouvaient s'organiser au départ des pays d'europe et d'amérique où sont les congolais, pensions que le retard serait vite effacé, et le pays connaîtrait un essort tangible par rapport à l'interactivité de la diaspora et les résidents au congo. Il est certes vrai que théoriquement c'est faisable mais il est aussi vrai que si rien ne se fait du côté des détenteurs de devises n'attendons aucunement un changement.

       Le fondement à la réussite réside dans le changement de mode opératoire, il faut aux congolais un mental de conquérant, toujours à la recherche de la gloire, par le travail et non l'assistanat. L'état providence n'est plus en pratique; il faut oser aller chercher. L'antenne de Brazzaville se chargera de conseiller au temps opportun. Un debut de travail a été effectué en ce sens et nous espérons qu'avec notre méthode de management des projets ,nombreux trouverons la route.

        Les pays de l'europe centrale pour ne m'arrêter qu'à cet espace économique, sont dans un tourbillon économique. Tourbillon dans lequel aucune mesure ne semble impulser un dynamisme les conduisant à la prospérité des années d'avant la crise actuelle.Les pertubations financières s'accumulant ont laissé la place aux politiques de trouver des solutions; ce qui a été fait lors des injections de monnaies fraiches dans différents établissements bancaires. Gais le problème s'est déplacé en fait pour s'aggriper sur l'ensemble des acteurs économiques et consommateurs divers. les institutions financières ayant retrouvé leur stabilité aujourd'hui après des plans décidés dans chaque pays, malgré les taux dans les crédits immobiliers fluctuent dans le sens de la hausse. La Grèce est un cas  par exemple aujouird'hui qui est la cause d'une nouvelle crise au point que la monnaie européenne connaisse des soubresseaux. L'Allememagne qui est le moteur économique de l'europe s'ioppose quand à l'idée d'une aide massive. L'environnement économique actuel se présente comme tel les exportations des pays comme la france ne permettent plus à faire face à la dette de ce pays d'où les mesures d'ajustement structurelles qui s'imposent à l'image de la 'espagne d'autres...

     Cet environnement économique actuel prouve qu'il est important de faire des coupes budgétaires pour endiguer tant peut soit -il la crise.Mais il n'est par ailleurs pas évident pour certaines économies de retrouver la stabilité budgétaire visée à court termes. L'emploi prend un coup également, dans la mesure où il est demandé des départs volontaires et le non remplacement de ceux-ci par des nouveaux. La place des jeunes qui arrivent sur le terrain de l'emploi est ménacée.

        A cet effet quel est l'apport d'un coaching pour cette classe de personnes? Il y'a une methode à cela pour éviter une atteinte psychologique et un délabrement comportemental des individu à l'attente ou au départ forcé. c'est ainsi que l'association coaching pour l'insertion préconise donc des ateliers de coaching pour remedier sinon trouver des pistes dont le but serait d'amener l'individu demandeur à une transmutaion idéelle de sorte à pouvoir se refaire du chemin dans d'autres sphère économique; une fois les capacités intresseques à rebondir sont identifiées et misent à jour. faire qu'une personne trouve une astuce par elle même de s'autogérer est un apport que nous préconisons dans la méthodologie qui est la notre.

        Les congolais de la diaspora comme certains aiment ledire sont dans une impasse quelque peu indéfinissable des yeux des observateurs de la vie active à Brazzaville. Etudiants en europe plus particulièrement en france puisque pays aveclequel nous partageons la même langue, ceux qui terminent et qui veulent rentrer pour exercer un emploi ou une activité sont pris comme dans un tourbillon. souvent confrontés aux difficultés administratives et même sociales, il ya des personnes pour certaines qui pensent qu'il fallait rester en métropole où de toutes les façons ce qu'on leur propose ne les satisfont pas. Car rarement l'insertion en métropole leur parait simple. A cela s'ajoutent des facteurs exogènes: l'âge à la quelle certains terminent les études, aussi les différents problèmes de société auxquels ils sont confrontés. La difficulté de se loger  de trouver un travail à la hauteur donc de leurs compétences. le toubillon se crée à ce moment d'où la décision de rentrer en croyant s'échapper pour trouver mieux chez soi.

      Le pays natal parâit comme une rescousse,mais très souvent c'est un recommencement et surtout que les conditions d'acueil dans différentes structures ne ressemblent pas à celle du pays où l'on a fait des études supérieures. La capacité d'adaptation ici est demandée car il faut se refaire une autre attitude e donc un nouveau mode de vie avec des codes neufs de la vie en société. la problématique d'insertion se pose bel et bien puisqu'il est urgent de prendre en charge des compatriotes qui souvent sont restés à l'étranger, de surcoit sans même y repartir pour des vacances compte tenu du fait que les moyens financiers font défaux. La manière de chercher du travail dans les pays comme les notres sous développés, ou en voie du développement n'est pas la même au regard de se qui se passe dans les pays nantis.la pratique administrative est différente bien que dans les textes de droit la théorie reste la même.l'idée du piston qui pourtant existe partout, mais sauf que chez certain c'est ce qui permet un avancement rapide du dossier, je ne focalise pas là dessus mais c'est un phénomène qui prend plus d'ampleur  et qui cause du tord à ceux des diplômés qui ne connaissent personnes. Il est urgent de procèder à un coaching pour tous de manière à changer le management de certains cadres et responsables d'entreprises.