LA TAXATION DES EXCÉDENTS BANCAIRES DÉVELOPPE T-ELLE L'ECONOMIE

Dans certains pays en développement (en Afrique)le système bancaire est en évolution notamment lorsque nous nous situons dans la zone au nord du continent (le Maroc et la Tunisie). certes les imperfections semblent ne se traduire qu'en termes de facilitation aux crédits il est aussi à noter qu'en Afrique au sud du Sahara il y a une nette amélioration, vue le taux de pénétration bancaire dans l'économie. Ici nous ne donnerons pas des chiffres pour corroborer notre analyse mais seulement nous nous appuierons sur ce que ces banques développent comme excédents, puisque l'idée est de voir comment la taxation de ces excédent peut-elle stimuler l'économie? Cette taxation est du domaine du fisc car souvent les bénéfices tirés de l'activité principale de la banque jadis ne faisaient l'objet d'un impôt. C'est comme chez les patrons des entreprises qui eux sont taxés par rapport aux dividendes dans les sociétés privées. Effectivement il es tenu que les services habiletés récoltent cet impôt à chaque session une fois que les banques ont effectué leurs différents bilans.

C'est de l'argent frais en fait pour les économies et surtout si la contribution est conséquente; ce qui peut doper l'économie.Un excédent est compris comme un bénéfice par ailleurs et donc susceptible d'une taxation au prorata des avoirs.Aujourd'hui si le Maroc se développe c'est parce que cet aspect d'entrer de monnaie dans l'économie est maîtrisé; les banques au Maroc disposent d'un fort taux de réserves en monnaie étrangère et l'activité des banques est florissante, ce qui implique par des politiques bien ciblées d'entreprendre des investissements dans des secteurs des technologies de l'informatique et de l'information. au Kenya effectivement le secteur bancaire est très en avance par rapport à certains pays d'Afrique et de fait les investissement dans ce secteur sont probants et du coup l'état a de la marge pour y prélever à partir d'un taux des taxes liées aux excédents.

Ce qu'on ne voit pas encore dans les pays comme le Congo où d'ailleurs le système bancaire lui même est en pleine difficulté de décollage, car la destruction des infrastructures lors des différents conflits ne permet donc pas une maîtrise de ces instrument malgré une sur-liquidité de celles qui exercent. dans des contrées où la corruption règne il est difficile pour un état de récolter cet impôt. A ceci s'ajoute donc la difficulté que l'économie connaisse une implosion grâce à cette ressource. Oui, il est probable que dans une économie que l'on connaisse une avancée due au surplus qui arriverait de cet impôt lorsque les mécanismes de sa récolte est sereine, dans l'autre sens il est impossible d'y penser.