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  • : Cet espace est un cadre dans lequel l'association donne ses informations et divulgue ses différentes activités;;mais surtout la publication des ateliers et conférences ,aussi un cadre d'échange et de persuasion sur ce qu'est un coaching.Ce blog est un moyen à travers lequel nous sensibilisons les spécialistes et personnes dans le besoin de formations. ainsi sont affichés ici les différents ateliers et conférences sur la problématique de l'insertions des jeunes et des personnes adultes. des études comparatives entre les pays développées et non développés sont ici énumérées, pour donner enfin un aperçu sur toutes les stratégies de régulation du chômage.,enfin cet espace est un lieu où nous informions selon l'actualité en vigueur dans le monde économique.
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  • MARCK- STENDHEL
  • Association apolitique,Loi 1901.Siège social en FRANCE à AMIENS et bientôt une antenne à BRAZZAVILLE pour un projet dans l'optique du Codéveloppement. Économiste, spécialisé sur les problématiques du développement. ,présentement Formateur/Conseiller (Insertion Professionnelle) à mon actif plusieurs
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31 janvier 2015 6 31 /01 /janvier /2015 11:16

C'est atelier a concentré son travail autour des problèmes que connaissent les jeunes lors de la période dite de chômage. On aurait pu élargir le champs aux catégories autres comme: les jeunes en handicape, et les seniors; les filles mères. Dans les pays dits sous développés et même développés, aujourd'hui, la crise de l'emploi est vécue de manière similaire à quelques exceptions près du fait de la prise en charge pour certains , et du suivi pour les autres.Mais force est de constater que les impacts que peuvent produire cette situation de non emploi sont dévastateurs: des suicides par ci des crises de comportement par là. La presse en parle toute fois qu'il y'a un projet de licenciement dans une unité de production( France, Japon, Angleterre)

Il ne s'agit pas dans cet atelier de problème définitionnel de ce qu'est le chômage, mais l'on peut dire de manière simple que: c'est la perte de son emploi pour un individu potentiellement employable. Ce que nous voulons ici montrer ce sont les conséquences (impacts) que causent sur les individus cette non activité, c'est effacement sur le marché de l'emploi des jeunes; dans les pays en voie de développement car à des exceptions près vécu similairement par ceux des pays nantis. Des études récentes ont été menées aux Etats-unis et au Japon, même en France pour souligner les désastres que cause cet état de fait dans les milieux jeunes.

Un jeune au chômage soit par ce qu'il vient de perdre un emploi, ou par ce qu'il ne trouve pas à être inséré dans un processus de retour à l'emploi au bout d'un certain temps; ce jeune va commencer à s'irriter, à perdre confiance, et à vouloir s'enfermer et petit à petit perdre de l'estime de soi et douter de ses capacités à rebondir. Souvent dans les pays sous développés un employé s'occupe non seulement de lui mais de toute la famille : parents et neveux et cousins...Comme les structures de suivis des chômeurs n'existent quasiment pas comme en Europe, le drame de perdre un emploi est vécu difficilement et perdure souvent longtemps jusqu'à la déchéance personnelle. Par contre en occident malgré qu'il y'a du chômage et des personnes en attente d'un premier emploi ou celles qui déjà étaient insérées, l'on connait des structures d'accueil et d'écoute des personnes en difficulté d'employabilité, mais aussi qui perçoivent une indemnité leur permettant de se soigner et de continuer à vivre dans l'espoir d'une ouverture d'opportunités ailleurs.

Les cas de suicides au Japon ne sont pas que dus au surmenage, mais aussi à la vitesse à laquelle on licencie dans des grands groupes lorsqu'il y'a crise. En France ou en Angleterre également les cas suicides sont connus dans des milieux où se pose cette problématique de perte d'emploi. Les divorces et abandon de soi sont fréquent par ailleurs dans ces sociétés d'où le phénomène de "clochardisation" malgré toutes les aides de maintient que certains perçoivent.

L'état psychologique de l'être humain étant fragile à un moment donné où la personne est exaspérée, il ressort que du point de vue des comportements il s'en suit des changements qui perturbent les équilibres physiologique de ces personnes au point qu'elles ne se sentent plus en valeur.Lorsque les médias déferlent des informations chaque mois sur la courbe du chômage, et les différents taux de croissances dans le monde ou dans une périphérie bien claire, le moral de ceux là qui attendent est souvent touché; lorsque cela est négatif.

La réussite personnelle est liée à la capacité d'un individu à se réaliser par l'emploi, et par conséquent si de fait cette réalisation advient impossible malgré les efforts de celui qui est à la recherche alors qu'arrive t-il? sans être médium il est facile de remarque auprès de ces personnes une dégradation intérieure qui au final. La dislocation des couples, les enfants qui se retrouvent sans repère du fait de la séparation des parents, l'isolement, enfin les dépressions....sont là les conséquences les plus gravissimes que connaissent les chômeurs au plus fort d'eux.

Au vu de ce tableau sombre des conséquences que peuvent connaître les sans emplois; comment arriver à relever cet état de fait? Si ce n'est par une politique volontariste amenant au plein emploi, comment dans les pays sous développer les autorités devraient -ils s' y prendre.

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15 janvier 2015 4 15 /01 /janvier /2015 09:42

Nombreux seront ceux qui se demanderons: mais où se situe le lien entre le fait de la socialisation et le problème de l'emploi des jeunes?

Mais il se pose une interrogation majeure; à savoir pourquoi autant de difficultés à recruter dans certains milieux des jeunes malgré le fait d'avoir eu pour certains un cursus oscillant et pour les autres un chemin sans écueils. Chaque individu nait dans un environnement , quel qu'il soit et souvent les premières règles de vie nous les obtenons dans le cocon familiale; et seulement après nous allions affronter les autres mondes qui nous permettent de nous forger cognitivement. Aujourd'hui avec les influences diverses que l'on rencontre, il n'est pas étonnant que souvent certains se perdent. Lorsque je parle de jeunes c'est une imagerie où tout le monde peut se retrouver.

Pour appréhender ici ma démarche il est utile de donner une définition sommaire de ce qu'est une socialisation:" processus par lequel les individus apprennent les règles de vie, de la société en vue de la construction d'une identité, c'est le moment pendant lequel les valeurs (règles , normes) sont transmises à un individu le temps de sa construction". Lorsque nous mettons ici en exergue les jeunes de qui s'agit -il?

Évidemment il est question de ceux potentiellement aptes pour l'emploi. Seulement l'on remarque partout des managers et recruteurs qui se plaignent de la qualité intrinsèque des demandeurs d'emploi du point de vue de leurs sociabilités dès lors qu'ils passent le cap des entretiens collectifs et individuels. L'on remarque donc souvent que les jeunes sont instruits cela dépend, mais présentent des faiblesses dans la manière d'être selon qu'ils sont dans des environnements différents; où les règles de vie en société sont très appréciées.

Le langage, que souvent, utilisent les jeunes aujourd'hui, est décrié pour la simple raison qu'il ne reflète pas celui que l'on attend dans un environnement de travail puisque ne cadran pas avec certaines valeurs ou norme de vie en société. Est ce un problème de socialisation ou de mode venant de l'utilisation par ces jeunes des codes linguistiques autres que ce qui est enseignés.

Comment écrivent-ils sur les réseaux sociaux? Et comment parlent-ils à autrui? Ainsi le besoin de la resocialisation dans certains cas des jeunes pour les donner plus de chances auprès des managers et recruteurs. savoir bien écrire, et parler correctement demande un apprentissage au delà du fait que ces jeunes pour certains ont des diplômes dans des spécialités prestigieuses.

Ils ne sont pas tous à mettre dans ce cas d'une resocialisation, il y en a qui ne se font pas influencer par la mode d'aujourd'hui, qui veut que l'on écrive comme on parle lorsque l'on est dans un environnement de travail. Ce qui est relaté ici n'implique pas le fait de repartir à la maternelle, non il y'a des ateliers d'apprentissages à l'écriture et à la parole dans une optique de recherche d'emploi; que les jeunes pourront côtoyer de sorte qu'il s'améliore et multiplient leurs chances pour un éventuel candidature.

Que l'on se situe dans un pays d'Afrique, ou en occident ce phénomène devient un fléau auquel les gouvernements s'attèlent pour rattraper ces jeunes, à travers des missions ponctuelles en y associant des acteurs sociaux, pour qu'ils les persuadent de la nécessité d'acquisition d'un savoir être en entreprise.Il y'a un lien entre le savoir être des jeunes et le besoin des managers d'avoir des personnes en capacité de s’intégrer dans des environnements différents de la famille.

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9 janvier 2015 5 09 /01 /janvier /2015 11:06

Cette problématique est d'actualité, et depuis, beaucoup de spécialistes écrivent à propos.Ma préoccupation ici va être centrée sur deux aspects très distincts mais aussi relatifs; le premier sera celui consacré au pouvoir Africain dans son entendement conceptuel et pratique. Le second angle traitera des indépendances du point de leurs impacts dans la gestion post-coloniale des pouvoirs. Ainsi seulement au travers de ce tableau nous pourrions mettre en évidence les conséquences actuelles.

Les années 60 sont celles des indépendances des pays d'Afrique dans la majeur des cas, mais ici je vais circonscrire cette étude au niveau de quelques pays partant du nord en Afrique centrale. C'est ainsi que l' Algérie obtiendra la liberté après une guerre dite d'indépendance; qui aura causé beaucoup de méfaits et jusqu'à nos jours. Le pouvoir politique en Afrique au sud du sahara du point de vue de sa conception n'est qu'une illusion de ce que l'on présente comme étant une démocratie à l'image des anciennes colonies.Cependant il est accepté tacitement comme une émanation de dieu; car très souvent les pratiques dans l'ensemble frisent la dictature.

Au sortir de la colonisation les pères de l'africanisme eux (kwamé K.) avaient une lecture différentes de la gestion car mettant en avant l'intérêt des Africains dans les différentes négociations économiques.Le clan, l'ethnie et la tribu sont des paramètres qu'aujourd'hui beaucoup de nos dirigeants exploitent pour s'éterniser au pouvoir d'où la répétition des coups d'états en Afrique depuis près que toutes les années où le colon a quitté la gestion des terres Africaines officiellement; combien même que souvent ces gouverneurs Africains restent liés à l'ancienne colonie .

Du point des institutions et de la justice tout est calqué comme en occident malgré un brin des aspects endogènes émanant des cultures ancestrales, l'administration post-coloniale et le système éducatif demeurent alignée sur ce que la colonie a laissé.

La difficulté dans les pays Africains réside en fait dans la gestion des pouvoirs car certains s'érigent en dictateurs et ne faisant rien par ailleurs pour le développement des contrées dont ils ont la charge ( à l'époque je peux citer ici : Mobutu, Bokassa, Samuel Doé, Ediamin DADA...) Eux considéraient que le pouvoir leur était dévolu par le divin et qu'à partir de cette conception rien ne devait entraver cette posture; ainsi dans la pratique entretenaient des rapports séculaires avec les anciennes colonies pour la pérennité de ce statut.

Les révolutionnaires apparaissent dans certains pays d'Afrique à l'image des pays de l'Amérique du sud comme Cuba, Nicaragua,,,,,,pour tenter de faire que ces hommes au pouvoir en Afrique regardent plus l'intérêt des peuples que de tout laisser au contrôle des anciennes colonies.

D'où les guerres et atrocités dans l'ensemble des pays tenus par des dictatures.

Généralement après les indépendances les pays de l'Afrique, partant de l’Algérie jusqu'en Afrique subsaharienne, ont connu une pratique du pouvoir dont l'idéologie au début prônait le panafricanisme, pour s'opposer à la montée du capitalisme hérité du système colonial.Aussi l'on remarquera par ailleurs une montée de l'idéologie Marxiste au Bénin et au Congo avec comme sous bassement le le nationalisme; tout ceci alimentera les contradictions qui ferons que certains pays vivent perpétuellement dans les tumultes.

La pérennité des pouvoirs en Afrique est liée au faits économiques car plus que le pouvoir en place laisse les ressources du pays contrôler par les grandes puissances étrangères longtemps durera le régime ou le système en exemple à Bangui avec Bokassa dans l'exploitation des mines de diamant et d'uranium. Les indépendances en ce moment sont un leurre puisque économiquement rien n'est décider au niveau de ces pouvoirs Africains. Les taux de change des matières premières sont décidés ailleurs.

Les indépendances acquises, les premiers Africains au pouvoir sont en fait des exécutants pour la plus part, ce qui conduit Lumumba et les Kwamé Kruma à réclamer une vraie autonomie et Mathieu kérékou de s'aligner ensuite pour dire ce que l'Afrique a vraiment besoin. Les années 80 nous vivrons la chute du mur de Berlin, et s'ensuivra la Pérestroïka, en sus de la conférence de la Baule par le Président Mitterrand pour permettre au pays d'Afrique d'ouvrir les vannes vers une démocratisation. Les années 90 sont donc à l'image des conférences nationales pour tenter de faire que ces pays d'Afrique qui ont longtemps baigné dans les dictatures; soutenues par les pays étrangers recadre les politique et pratique en faveur des populations par l'usage des urnes.

Que constate - t-on ? Encore des troubles partout en Afrique.Inutile d'en citer autant, l'actualité à propos est très fournie.Peut-on parler des indépendances Africaines aujourd'hui? quand nous savons que économiquement l'envol est très difficile puisque beaucoup de pays se servent encore des monnaies héritées de la colonisation et en sus du fait que nombreux n'ont pas la maîtrise des indépendances. Les indépendances africaines sont gérées du point de vue des pouvoirs de manière dictatoriale et au final les populations en souffrent car aucune avancée n'est remarquée auprès des systèmes de gestion et même des redistributions des revenus, à savoir que socialement les populations sont dépendantes des caprices des gouvernants, car les projets de sociétés en matière de la petite enfance, de la prise en charge des malades, des soins tout cour rien n'est fait sauf quand les dignitaires souffrent alors ils sont évacués au détriment des populations contributives aux impôts.

Sur le plan des communications inter-régionales entre pays Africains rien n'est au point à part quelques bricoles que la colonisations a laissé. Du point de la recherche et des enseignements pour la formation des cadres rien encore n'est viable depuis 50 ans, puisque souvent les pays font appel à l'expertise étrangère même dans les pratiques sanitaires le plus bénignes. la couverture médicale comme partout ailleurs est une illusion encore. pour certains, la crise alimentaire devient un mode de vie puisque ne produisant que insuffisamment les denrées alimentaires malgré les terres arables qui abondent. Les indépendances Africaines servent en fait les clans et ethnies au pouvoir car souvent ces responsables sont arrivés par la force ou encore par trucage des données à l'issue des votes.,,d'où souvent l'on remarque des troubles après élections dans divers pays d'Afrique.

Si l'indépendance est réelle, la démocratie serait un fait tangible en dehors de ce qu'elle demeure théorique. Incriminé les anciennes colonies comme étant la cause des échecs de la maîtrise des indépendances en Afrique, est en fait manquer d'objectivité car les pouvoirs sont tenus par les Africains eux -mêmes au delà de ce que les ex puissances peuvent apporter comme appuis à certaines organisations politiques en lutte pour la gestion des affaires; pour dire qu'il manque un esprit de patriotisme de la part des gouvernants Africains; de comprendre qu'en ambitionne le pouvoir pour servir le pays et la nation et non ses propres intérêts. C'est pourquoi l'on a vécu le printemps Arabe, car les peuples souverains réclament leur part des richesses confisquées au sommet de l'état.

Les conséquences aujourd'hui du fait de la mauvaise gestion des indépendances sont diverses et les jeunes en pâtissent terriblement. Certes qu'il n'y ait pas de vraies indépendances mais à contrario ce sont sont les fils d'Afrique qui gèrent ces nations et qui décident de ce que devrait advenir l'Afrique noire au sud du Sahara. En cinquante ans que constatons nous si ce n'est l'enrichissement abusive des hommes au pouvoir et leur clan, si ce n'est au plan intellectuel une régression de l'élite Africaine, qu'est ce que nous ne remarquons pas sur le plan simplement économique? si ce n'est la main tendue vers l'occident pour venir en aide à ces pays qui pourtant ne cessent de vendre du pétrole et des minerais. Sur le plan de l'intégration économique Africaine que lisons nous? rien de consistant au niveau des échanges inter-régionaux, aucune industrie fiable qui peut mettre l'Afrique au devant des continents productives de valeurs ajoutées.

Mais de tout ceci la plus grave des conséquences est celle qui frappe la jeunesse et les diplômés chômeurs que compte l'Afrique, c'est ainsi qu'on constate chaque année les déplacements vers les nations nanties de ces jeunes et diplômés dans le souci de trouver en occident de quoi réaliser leurs rêves : être utile pour soi et dans la vie. Les embarcations qui échouent dans les océans, les femmes et enfants, les jeunes et moins jeunes qui quittent la Tunisie, les pays du Soudan et de l’Éthiopie,aussi de l'Afrique centrale sont la preuve de la non indépendance des pays d'Afrique. la fuite des cerveaux qui est due à l'intrigue et à la non utilisation optimum des cadres est aussi un aspect de la conséquence de la mauvaise gestion des indépendances, au final ces pays d'Afrique meurt à petit feu ce qui devient comme un projet des dictatures de voir partir toute la crème intellectuelle Africaine vers d'autres mondes.

De ces faits, l'on peut retenir que le décollage de l'Afrique est encore loin à venir au moment où la chine et quelques pays de l'Amérique du sud émergent économiquement et socialement Il se pose par conséquent la problématique de l'emploi des jeunes dans ces pays d'Afrique qui n'arrivent pas ou ne daignent pas mettre en place des politiques d'insertion convenables.

Les dirigeants Africains d'aujourd'hui sont toujours dans l'incantation, tout le temps qu'il leur est demandé de pratiquer la démocratie effective et efficiente, pour ces politiques l'occident s'ingère dans leurs affaires, lorsqu'ils se sentent mis au pied du mur ces gouvernants crient au complot. Heureusement que les jeunes ont compris qu'il est nécessaire de faire jouer l'alternance politique de manière que ces tenants du statu-quo ne s'y résident plus jusqu'à l'éternité en tentant de faire asseoir au trône les membres du clan.

La liberté de s'exprimer et d'entreprendre sont des valeurs universelles , alors les peuples en Afrique devront aussi connaître ces vertus qui mènent l'homme à pouvoir se réaliser et s'épanouir. la confiscation du pouvoir par les dictateurs produit une stagnation qui freine l'émergence des esprits; c'est ainsi que la jeunesse aspire à la liberté.

la problématique de l'emploi en Afrique, celle des jeunes et des cadres ou diplômés chômeurs ne trouvera une issue positive que dans la mesure où les gouvernants actuels mettrons en place des stratégies qui reposerons sur du patriotisme, et sur une vision éclairée des enjeux de la mondialisation.

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30 décembre 2014 2 30 /12 /décembre /2014 10:02

En cette fin de l'année, où les cataclysmes ne cessent de croître: inondation par ci violence par là, en sus des guerres de positionnement dans l'axe du moyen orient, aussi la disparition des avions de lignes sont autant de phénomènes qui clôturent cette fin de l'année mais de manière très néfaste puisque au final c'est toujours l'humain qui en pâti. A ce tableau lugubre s'ajoutent les différentes crises dues aux fluctuations des taux de croissances qui ne cessent de dégringoler malgré que dans certaines économiques il y a du mieux (la Chine, l'Allemagne). La situation économique du monde est rythmée au gré des prix du pétrole et de certaines matières premières, ce qui entraîne à ce jour en cette fin d'année 2014 une prudence au niveau des régulations circuits financiers dont le dollar reste l'outil le plus usité.

Les pays de l'OPEP ont aussi à leur niveau une influence prépondérante puisque pouvant influer sur le cours des prix de matières premières comme le pétroles, mais ce que l'on vit aujourd'hui nous conduit à nous demander si la crise actuelle est économique ou pas? Si par ailleurs cette crise n'est elle pas un complot géostratégique de la part des puissances occidentales?

Cette crise de la baisse des prix de pétrole ne peut apparaître comme due à un désordre économique, puisque voulue par ailleurs par des puissances économiques et industrielles , aussi par les pays du golfe qui ne cessent de vouloir mettre en avant leur production de manière à contrer les économies qui recherchent une avancée des gaz de schistes. Pour protéger la primauté du pétrole actuel par rapport aux nouvelles énergies les pays du golfe n'hésitent plus à manipuler ce levier en augmentant la production du baril par jour avec comme conséquence donc le déclin des prix.

De l'autre côté avec la guerre que se livre la Russie vis à vis de l'Ukraine et pour contraindre cette puissance à subir l'embargo la stratégie de la baisse des prix du baril de pétrole est un bon élément qui affecte très durement la Russie. Non seulement ne pouvant vendre à sa guise en en Europe comme d'accoutumé voit ces recettes diminuer ce qui impacte sur toute son économie.

Cette asphyxie que connaît l'économie Russe pour ne pas avoir respecté les recommandations de l'occident; conduit cet état à revoir ces plans. L'Union Européenne et les Usa en agissant de la sorte influent sur les pays satellites à faire subir la Russie jusqu'à ce qu'elle cède. Les ventres s'effectuant en dollar, la production du pétrole augmentant avec les prix à la baisse; l'on conçoit aisément que cette "musique" n'apparaît pas ex-nihilo que par ailleurs elle prend bien naissance dans des officines de la géostratégie pour en fait isoler un pays qui tient sa force économique à travers donc cette source d'énergie une fois bien vendue. La conséquence est globale certes mais l'important est ailleurs.

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5 décembre 2014 5 05 /12 /décembre /2014 08:45

Parler du commerce mondial implique plusieurs variables  à savoir : les hommes comme acteurs, les étatscommerçants et les caractéristiques même de la mondialisation. A la différence du commerce international qui du reste a des règles, le commerce mondial s'intègre lui dans une osmose où la règle est la disparition des frontières et les barrières douanières dans certains cas lorsqu'il s'agit des zones économiques.

 

     Ici la civilisation fait allusion aux pratiques commerciales ancestrales de la paysannerie; dans le souci de l'équité et du respect des terres et des cultures. Comment alors parler d'une destruction de cette civilisation à partir des pratiques du commerce mondial?  C'est ce que nous essayerons de démontrer dans ces paragraphes qui vont suivre. les années 80 ont vu tombé le mur de berlin qui exprimait la séparation du monde soviétique à économie planifiée du monde occidental à économie libérale.

 

     Ces idéologies diamétralement opposée ne laissait augurer aucune chance à l'époque d'une pratique transversale de l'économie comme on le vit de nos jours. Les anciennes puissances de l'Est commerce,nt avec le reste du monde et l'occident, les personnes et la monnaie circulent à une vitesse telle que l'on pouvait y croire avant. la numérisation des opérations y étant l'on remarque aujourd'hui un e facilitation d'aller et venir de tout dans cet espace mondialisé.

 

     Les grands groupes industriels contrôlent le marché mondial au détriment des petits paysans qui eux produisaient en tenant compte des équilibre environnementaux et de la vitalaté des espaèces, mais aujourd'hui la grande industrie par ces pratiques d'absorption et de l'envie de toujours gagner entraîne des conséquences car l'on remarque de la pollution des eaux, des terres puisque souvent ces industries utilkisent des produits chimiques pour soit disant l'amélioration des cultures et des terres.....combien n'attend pas décrier la disparition des insectes et autres bestioles qui concourent à l'écosqystème? (abbeilles) Je m'abstiens de citer ici ces groupes dont l'élément premier de leur markéting est l'engraie amélioré,mais aussi et surtout la graine améliorée au détriment des graines des paysans pour toute culture....(maïs, soja, et  autres). les écologistes ont décrié ces pratiques et des émeutes ont eu lieu en asie, en  amérique du sud.

 

     La déstruction en france par les écologistes des cultures dite des OGM, prouve à suffisance l'idée selon laquelle : pour des intérêts mercantiles ces groupes sacrifient les cultures traditionnels et du coup font disparaître la paysanerie. les cultures intensives et la pratique des semances améliorées sont moins bien acceptées de nos jours puisque aucune études sérieuse ne certifie que ces pratiques sont saines et sans danger pour la nature et l'espèce humaine.Mais entre temps l'on voit se développer outre mesure des conséquences dans la faune et la flore,,,,les poissons qui naissent et évoluent avec des déformations, les maldie de la vache folle, le poulet à la dioxine.....et certains enfants qui naissent avec des déformation dites congénitales,,,tout ceci est du fait de l'homme qui destabilise les équilibres naturels.

 

     Certes il est des méthodes de productions qui sont acceptables lorsqu'elles tiennent compte de l'environnement et non de la logique du gain à tout prix. Ce qui serait non destructible pour l'humain c'est: "le commrece équitable simplement". La civilisation ici c'est l'ensemble des pratiques culturelles et sociétales qui tiennent évidemment compte  de ce que l'homme a besoin pour sa survie et qu'il peut produire, et de l'impact que cela risque de provoquer sur l'évolution de son écosysthème.

 

   Le respect à la nature et sa propre évolution sont deux fondamentaux pour lesquels la mondialisation ne doit supplanter au rique donc de susciter le déclin des espèces qui concourent à notre survie à tous. Si effectivement les grands groupes de production de denrées alimentaires et d'autres produits manufacturés de l'agroalimentaire restent dans une logique de l'optimisation des gains par des pratiques ne tenant pas compte de la diversité écosysthémale alorsle monde et sa mondialisation vont droit au cataclysme...et les risques ne seront point résorbés.

 

     Serait-il temps de revoir cette manière d'agir? pour épargner les homes de cette guerre que nous impose la grande industrie ....la pêche au filet et à la ligne disparaît, l'atmosphère est souillée, l'air pollué, les habitudes des citadins changeant,,,les tenants du commerce mondial prospèrent toujours cependant que la misère augmentent dansle monde.

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25 novembre 2014 2 25 /11 /novembre /2014 09:26

         L'ESS est   une pratique qui concilie les activités économiques et l'utilités sociales. Eles sont  organisées autour d'une solidarité des personnes, au sein d'un groupe d'une mutuelle, d'une association qui réinvestissent leurs résultats dans les projets et  services aux personnes, car dans cette pratique économique l'objectif rechercher est de remettre l'humain au coeur de l'économie de demain. Offrir au plus grand nombre des biens et services est un défit que tente de relever ces organisations qui emploie énormément de personnes surtout dans les activités privées. Cette activité est un vivier d'emploi pour les générations à venir si et seulement si la tendance actuelle est soutenue, malgré les effets de la crise actuelle.

 

           Le Congo est un état au centre de l'Afrique, qui connait une croissance de l'lordre d'environ 7% ; grâce à l'envolée des prix du pétrole qui est la première source d'entrer de dévises de ce pays. La vente du bois et les minerais complètent les exportations de cette économie qui vit enb fait de la rente pétrolière, car 90% des exportations sont constituées des produits pétroliers.

 

          Au niveau d'autres acteurs de l'économie à part l'état, le secteur privé n'est pas du tout développé, car ce pays importe à plus de 80% tous le matériaux de construction, et sa capacité énergétique à produire du flux pour la consommation domestique ou industrielle est très moindre car au sortir des guerres des années 90 ce pays s'est mis à la reconstruction des infrastructures (énergétique, routière, et ....).

 

         Ce tableau loin d'être pessimiste est d'ailleurs à mettre dans la ligne que s'est fixées les autorités à relever le défit du développement. Mon propos ici est celui de me demander, au regard de cette image et de ce qui se passe dans les pays où l'ess est pratiquée, est-il possible d'appliquer L'ESS au Congo? dans l'hypothèse quels en sont les freins?

 

        La solidarité dans les us et coutumes du congo est une pratique déjà inscrite mais aussi cardinale, qui constitue le socle transversal soutenant les communautés solidaire entre elles. L'on remarque cela au niveau des ménages. mais qu'en est -il au plan macro économique?  cet indice n'apparaissant pas dans le pib Congolais, on est en droit de se demander effectivement si cette pratique économique  est efficiente? sachant qu'un Congolais vit avec moins de 2 dollarspar jour.

 

       Certes qu'au Congo la pratique agricole est tenue par les maraichers, et les familles en petits groupements et pour la consommation domestique, les artisans également s'efforcent de se mettre en association pour palier aux aléas de la crise dans ce secteur, mais l'on note par ailleurs l'inefficacité de ceux - ci à combler lleurs besoins puisque déjà n'arrivant pas à la satisfaction substencielle de leur propre vécu.

 

         La désorganisation du secteur dit onformel n'augure pas des lendemains agréables pour ces personnes qui ne n'arrivent pas à réinvestir puisque ne dégageant aucun bénéfice de leurs activités. Les activités qui regroupent les jeunes autour d'un projet ouune activité ne permetent qu'une survie et les autorités n'ont pas mis en place une politique d'encouragement qui boosterait ces jeunes à s'activer dans le privé, et la conséquence est que souvent les jeunes s'emploient pour du vivrier.

 

       Dans l'agriculture l'on ne peut compter sur les jeunes puisque très pénible même en petit groupe ; le manque d'outils de travail, l'absence des pistes les conduisant au point de vente, l'affaiblissement des villages au profit des villes sont des maux qui ne permettent pas rassembler efficacement autour d'un projet réel les personnes disponibles. L'ess qui est un moteur pour l'emploi dans des pays où cette pratique est  réussie ; au sens que les jeunes trouvent leur insertion facilitée par ces structures ( associations, coopératives, mutuelles, service à la personne...).

 

       Ce qui nous fait dire que L'ESS est un acteur prépondérant pour l'économie mais que certains pays ne tentent de valoriser. Les freins à cette forme d'économie est simplement le manque de politique adéquate qui laisserait libre les personnes s'organiser; ausi il est impératif que les pooitiques ou responsables donnent la possibilité aux personnes désireuses d'investir dans ces secteur de solidarité de le faire sans trop de contraintes administratives.

 

       Mettre sur pied une association, ou un groupement, une coopérative pour un intérêt Collectif dans certains pays d'Afrique est une bataille administrative; qui en sourdine décourage les volontaires aux différents projets. L'inaccessibilité au crédit est aussi une difficulté car le manque d'information et même du crédit à l'endroit des potentiels acteurs de l'économie sociale gangrène la volonté de ceux ci d'aller de l'avant.  Le secteur bancaire ou la micro crédit qui devraient soutenir ces acteurs pour les voir évoluer ne joue pas le jeu, et de ce fait aucune amélioration ne peut être envisagée (connue), par conséquent surviennent la disparition de certaines activités; qui devraient si elles étaient accompagnées de produir de l'emploi à grande échelle pour  des jeunes désoeuvrés.

 

 

       Les entreprises de l'ess sont un grand pourvoyeur d'emploi ailleurs pour prendre un exemple dans un pays de L'OCDE comme la France sur les dix dernières années 440.000 emplois créés. Les entreprises de l'économie sociale comme les mutuelles, les assurances , les banques, les agences immobilières constituent un grand vivier pour résorber la problématique de l'emploi.

 

      Au Congo ne serait ce que par mimétisme les résponsables des département de l'économies sont  dans une léthargie qu'on ne peut qualifier lorsque l'on pense que ce pays recouvre de recettes énormes issues de la vente du pétrole et du bois.

 

   L'applicabilité est certes facil,e il suffit d'ouvrir les vannes, mais les freins à cette pratique (l'ess) sont d'ordre programmatiques, au sens que les priorités du développement sont ailleurs.  Il y' a des atouts car l'innovation économique passe aujourd'hui par les entreprises de l'économie sociale et solidaire.des secteurs comme celui de services à la personne sont inexploités, les personnes à mobilité réduite étant nombreux , le jeunes ou encore des corporations pouvaient y mettre leurs ingénuosité. Mais les politiques d'encouragement ne s'y apprêtant pas les initiaves sommeillent.

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20 novembre 2014 4 20 /11 /novembre /2014 22:12

       Le simulacre dans lequel les dirigeants Africains ont baigné les peuples d'Afrique après l'ère 'pérestroïkaine' des années 90 a laissé des stigmates au sein des populations. Aussi, s'en est suivi quelques années après les différentes guerres dans les deux Congo (entre donc 97 -2008 et 2012 pour le sud kivu), et la côte d'ivoire(plus récemmment), ensuite  le Soudan avec comme conséquence majeure la parttion du pays; pour terminer par le primtemps dit Arabe des années2010.

 

        La Centrafrique  et le  burkina sont des cas plus récents encore de cette année en cours (2014) qui ne désobéhissent  pas à la logique , car à chaque événement l'on constate un reculement des indices d'avancement de ces pays au vu du nombre des dégats causés. Est ces des révolutions ou de la pire anarchie puisque la suite est souvent la même: redemander de l'aide avec comme motivation reconstruire les édiffices endommagés et d'ailleurs détruits.

 

       J'ai,dit démocratie à l'Africaine car souvent les responsables s'éternisent aux affaires font perdurer les mandats sans que cette longévité n'apporte un mieux -être dans ces pays. Nul n'est besoin ici de citer nommément certains de ces pays où ces cas se produisent mais dans l'ensemble c'est ce qui se passe en sus du fait que les caisses de l'état restent vides après que le vent à souffler sur les locataires des instances. Le minimun construit à cet effet se voit détruit d'où les phénomènes de pillages systématiques par le peuple en colère.

 

       Mobutu, Bagbo, Lissouba ont connu cela; et pas trop loin qu'il ya quelques jours au burkina la jeunesse à bruler les différents lieux symboliques du pouvoir Est-il normal que cela se passe ainsi? pourquoi est ce que dans ce continent aussi plus riche que certains en matières premières devrait -il subir cette transumance pénible pour espèrer délivrer les jeunes de la souffrance endurée depuis des décennies?

 

      Ensuite revientl'éternel recommencement des pratiques anciennes et portant désavouées par ce même peuple lors de l'ancienne mandature.Les jeunes sont utilisés et au final rien de probant ne tombe pour eux entermes de formation , de projets d'insertions viablesdans la vie active.

 

      Tous ceux qui arrivent nouvellment depuis ces révolutions et l'installations des démocraties virtuelles car souvent gèrées à l'africaine (clientélisme, clanisme, régionalisme et ethnocentrique) causant plus de méfaits que de bien-être social. Un président Africain promettait à son peuple qui le ménaçait de quitter le pouvoir; il leur répondait " qu'après serait le déluge" La jeunesse se retrouve ainsi dans un désoeuvrement sans précédent car comme il fallait  coûte-coûte faire partir le chef de l'état  par tous les moyens en évitant le suffrage universel, celui -ci détruisit tout derrière lui en intimant l'ordre à ses soldats de piller partout où existeraient des commerces tenus par des expatriers ..ce qui fût fait,,d'où l'embrasement de la ville capitale de kinshassa avant l'arrivée des rebelles.

 

       Pensant voir le sauveur arrivé en fait non les illusions grandirent, la jeunesse ébahit ne sachant plus où aller et quoi faire; ainsi l'on remarque dans des grandes capitales Africaines le taux de criminalité qui augmente, le chômage devenant criard et à la limite paraîssant comme une norme sociale qi n'inquiète plus les autorités. Le théorème s'explique par le fait que le peu que l'on construit devra disparaître le jour où lepeuple décide de ne plus accepter le diktat de ceux qui sont aux commandes, c'est une aberration et  de fait un manque d'esprit patriotique. dans la perspective et pour des générations futures le mieux serait que l'Afrique se batte pour arriver à faire jouer les alternaces institutionnelles et politiques de manière que les lois régies collectivement soient respecter  de façon que cesse cette hypocrisie qui veut que celui qui est là continue jusqu'à satiété même si objectivement rien ne se fait à l'endroit de ceux qui ont plus besoin pour assurer les lendemains.

 

       Combattre au nom de lajeunesse est une illusion tantôt brondi pour arriver aux affaires,la duperie y étant ce même peuple qui a cru se voit abuser. Une des conséquence majeure que vit la jeunesse africaine dans ces cas c'est l'éternel oisiveté tandisque certains adoubés par le clan ou l'ethnie trinquent dans des grands palais du monde.

 

      L'instabilité politique en Afrique dans certains de ces états et le manque d'infrastructures adéquates puisque souvent détruites par les mouvements de masse, causent un retard à ce pays qui connaissent entre autre des années dites: blanches où les étudiants et élèves restent des mois à la maison sans cours. Ce qu,i sur le plan de la formation, et donc de la production des élites empêche le renouvellment de la classe dirigeante.

 

       Ce  constat est patent et souvent les autorités en charge des politiques de formation des jeunes n'évaluent point le désastre que cela occasione, à part le fait qu'il y a non utilisation de ceux qui sont déjà sur le point d'être employer, il s'y ajoute d'autres générations qui elles ont connu dans leurs cursus des soubressauts  les réduisant   aller chercher dans l'informel pour survivre. D'où l'impossibilité d'un renouvellment qualitatif  mais naturel  de" l'intergénérationalité "

 

        . La gestion de la chose publique dans ces divers pays, où l'on clame la démocratie lorsque l'on sait qu'il y a des pratiques autres que les valeurs démocratiques, les politiques de développement mise en oeuvre deviennent comme l'acte personnel de celui qui est en charge de gouverner, tantdis que ces mêmes valeurs démocratiques mises en avant comme des slogans neservent aucunement l'ensemble du peuple. Cette notion de la gestion transparente du bien public pour l'intérêt de la société toute entière et de la promotion du progrès  est appréhendée irreversiblement pour les intérêts personnels.

 

         Dans ce que j'ai intitulé : "Théorème de la construction - déconstruction" trouve son sens car souvent lorsqu'une dictature tombe s'en suivent également toute la panacée de ce qui a été fait même quand c'esr serviable pour ce peuple. En ce moment le retard s'accumule et le pays plonge  de plus. Pour éviter que les jeunes e nsouffre la seule et unique voie est celle d'une vraie démocratie qui respecterait les alternances et les équilibres institutionnelles pour en fait perenniser le développement..

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12 novembre 2014 3 12 /11 /novembre /2014 14:01

Ce sujet est tellement large, qu'il m'est impératif d'essayer de le traiter par section. les aspects relatés ci dessus ont pour compléments ce qui va être discutés ici dans cet article. Au delà du fait que j'ai évoqué les quelques freins à l'accessibilité des populations fragiles au systhème bancaire dans les pays en voie de développement plus précisement  en Afrque subsaharien; il ausi imprudent de ne pas mettre en évidence ici le fait  de la non consolidation des garantis juridiques dont doivent bénéficier les potentiels personnes à inserrer dans le systhème bancaire.

 

 

         En effet il est à noter de manière simple qu'en Afrique généralement , et plus particulièrement , au sud du sahara où les régimes politiques sont souvent instables: (la guerre du kivu à l'EST de la RDC, les troubles en Ouganda, les péripéties du Soudan...la situation en  Centrafrique), tous ces épiphénomènes font que les investisseurs étrangers et même les locaux hésitent de faire asseoir une stratégie d'installation des infrastructures capables de gèrer les mannes financièresd ont ces pays sont géniteurs au travers de l'exploitations et de la vente des matières premières.

 

         Autant les présupposés clients ont peur de s'y mettre les investisseurs aussi s'obligent à aller vers les zones où la quiétude est de mise pour les affaires.La règle de droit est simplement souvent baffouée, car les procédures très lentes et périlleuses lorsqu'il ya un litige entyre une institution et un privé ou client ou d'ailleurs avec un état. c'est ainsi que l'on remarque dans ces états où règne la confusion même monétaire car plusieurs monnaies en circulation empêchent ceratins d'avoir la confiance (en exemple en rdc : ledollars, l'euro, le franc cfa et le franc congolais).

 

        Le processus de bancarisation ne peut émerger dans ces conditions  précises. l'élément fondamental permettant aux potentiels clients est la garantie judiciaire au cas où il ya un litige, car le client aimerait sentir la sécurité au seuin du systhème banacaire auquel il va être débiteur ou créditeur. Lorsque l'on sait que le premier acte d'une banque st de faire du crédit, la personne qui arrive avec des liquidités aimerait avoir de l'assurance pour ses dépôts voilà pourquoi cet arsena jurique et sécuritaire devrait être transparent, mais souvent ce n'est pas le  cas dans ceratains pays.

 

        Si les micros-crédits ont une avancées remarquables pour l'attirance vers les secteurs de la finance c'est parce qu'une politique volontariste est mise sur pied pour ces populations dites fragiles.  Ces institutions de petites échelles ont prouvé leurs efficacités souvent en Afrique de l'Ouest; où les femmes se sont constituées en associastions de productrices de denrées alimentaires; ces femmes et hommes  ont aussi le devoir de faire évoluer les unités de productions en ayant dans l'esprit l'idée de demander du crédit bien que bénéficiant certainement des formations à la gestion quotidiennedes affaires.

 

 

          L'absence juridique et procédurale, la non visibilité du secteur des assurance rendent inefficace toute politique d'attrayance visant à la bancarisation despopulations évoluant dans l'informel. une harmanisation est impérative pour qu'au final ces projets deviennent efficients au profit de la communanaté et de l'ensemble de l'économie.

 

         En d'autre termes tout est lié de l'économique à la finance et de la finance à la sensibilsation de la population; et  à l'implantation des structures qui puissent générer de la confiance et de l'assurance  pour les potentiels utilisateurs de crédits. Les entreprises de l'ESS n'étant pas développées, à quelques échelles prèt, dans certains pays de l'afrique au sud du sahara, il est difficile pour les autorités, du système bancaire de ces pays, d'enclencher une politique d'attrayance vers ces institutions pour quantifier et donner à chacun la possibilité de détenir un compte.

 

        La non ouverture des portes de banques aux petits porteurs qui sont dans l'informel, est un frein majeur qui ne permet pas au développement de la mentalité de ceux -ci à savoir que détenir un compte bancaire est non seulement une sécurisation de leur argent , mais aussi un atout donnant droit au crédit; en sus du fait d'un l'accompagnement par les institutions bancaires des personnes ayant un projet économique.

 

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10 novembre 2014 1 10 /11 /novembre /2014 17:12

     L'on ne peut parler de bancarisation dans un système économique en progression sans tenir compte de l'évolution de la population vers la modernité. Ce projet est lié en définitive à une perspective d'éducation de la masse à intègrer dans leurs habitudes le maniement des services bancaires.Se familiariser avec l'outil bancaire et tout son système demande de la part des autorités en charge des politiques d'insertions par l'économique: un programme d'envergure et de vulgarisation de manière à informer la population sur les innovations et leur applicabilités.Aussi il importe de former les opérateurs au sens qu'ils aient des possibilités techniques et intellectuelles pour la transmission de ces savoirs dans leur utilisation.

 

       Mais il s'avère que le système bancaire en Afrique, dans certains pays, est confronté à la non volonté des responsables qui elles mêmes sont à l'origine des écueils qui emp^chent le développement diu secteur bancaire.

 

        On ne parlera incessemment de l'instabilité politique dans certains coins de l'Afrique, comme source de proliferation des conflits internes netraînant donc les politiques a avoir de la rétissance au pire de la mauvaise foie de ne faire avancer les projets de développement.; car n'ayant pour la plupart qu'une infime fibre patriotique.

 

        L'accès au système bancaire, par les populations dites fragiles, est de fait réduit pour la simple raison qu'il ya moins d'intéressement et et de politique menat à à un redéployement des investissments dans ce secteur. Les quelques établissements bancaires visibles sont d'aubédience privées et étrangères et souvent ouvert  pour quelques nantis des sociétées privées de la place.

 

         Le seul exemple (un pays) de nos jours qui essaye de passer à la vitesse supérieure en matière de politique d'insertion des populations dites fragiles; évoluant dans le microcosme économique informel est  le Kenya; où les autorités ont mis en place une politique attrayante d'investissement massif pour la création d'entreprises(startups) moyennant des micro-crédits; ce qui se traduit par l'ouverture donc des comptes et la facilitation aux opérations bancaires.

 

        Plus qu'une population est implquée dans ce sens par effet d'entraînement son niveau d'insertion dans la sphère économique s'élève puisqu'évitant désormais les pratiques d'évitement des circuits monétaires modernes. Pou quoi un projet de bancarisation si toutes les composantes de la cité ne sont pas solliciter? Et comment réussir un projet de bancarisation à l'échelle des nations si le frein vient des géniteurs mêmes de ces idées novatrices car exprimées comme slogants.

 

         La mondialisation appelle tout le monde à s'y préparer pour que l'entrée dans les siècles prochains ne fasse pas l'effet d'une surprise pour le continent Africain.

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7 novembre 2014 5 07 /11 /novembre /2014 15:57

la bancarisation est un concept actuel qui doit son apparition dans la lignée du développement des "NTIC", il est lié au fait économique et financier au sens qu'il indique par ailleurs le taux d'accesibilité à un compte bancaire.Plus qu'un pays a un taux de bancarisation élevé l'on suppose que  son niveau de développement est également très élevé. Pour dire que le système bancaire est très impliqué dans le processus économique et financier. Les banques ont pour vocation première: faire du crédit, plusque les individus ont une appartenance bancaire, plus les flux financiers circulent.

 

     Ici dans cet article j'ai voulu mettre en relief l'impact de celui ci dans la manière d'agir des "communautés fragiles" c'est à dire: comment ces communautés perçoivent -elles cet outil qu'est la banque? est-il un frein ou au contraire un moyen pour ces communautés de s'inserrer économiquement?

 

      J'entends par communautés fragiles des personnes qui n'ont pas été instruites, des personnes qui évoluent dans l'informel, mais aussi surtout les femmes dans les différentes corporations de l'économie solidaire. Je me situe ici dans le cas des pays à " revenus intemédiaires" et  en voies de développement pour ne pas dire sous développés.

 

     Comparativement aux pays nantis, comme la Suisse ou la France, le taux de bancarisation  des pays à revenus intermédiaires n'avoisine pas les 20% de la population active tandisque'en France  il est à plus de 75%. ce qui explique l'implication de la population dans ce procesus de digitalisation des personnes active et potentiellement employables. la bancarisation est liée aujourd'hui aux NTIC d'où l'importance de développer ce secteur; puisque la comptabilité se faisant avec des moyens très modernes avec des logiciels très puissants. déjà que le taux d'employabilité est faible dans certains état de l'Afrique au sud du sahara, les étudiant s qui pourtant devraient être pris en compte pour qu'ils aient leurs bourses dans des établissements bancaires; sont malheureusement payer à la main.

 

    Les femmes au seins des associations d'économie solidaire utilisent encore des techniques rudimentaires appelées "tantine" pour tésoriser lleurs moyens pour des éventuels projets malgré la présence des institutions dites micro-crédits.

 

      Le taux d'analphabétisme qui est très élevé est un frein naturel pour l'accès à des institutions financières en Afrique. Les pays n'ayant point un fort taux d'hommes d'affaire et d'industries en sus du fait de la non accessibilité aux crédits posent les problèmes à ces populations; qui se sentent éloignées de ces structures. Les politiques incitatives inexistantes , et le manque de vulgarisation de l'outil informatique sont là aussi des freins pour ces populations d'accèder à un compte bancaire; et de surcroit avoir un compte est un luxe dans ceratins de ces pays.

 

    Aujourd'hui il est inconcevanble que les enseignants continuent à percevoir leurs dus dans des enveloppes puisque n'ayant pas de comptes en banque. le chêquier ou la carte de retrait sont des luxes réservés à la classes des nantis. Les politiques d'intégrations à cette nouvelles donne sont plus théorisées que pratiquées. Le secteur informel est en plein essort en Afrique car il est un indicateur de  degrés de misérabilité de la population qui au lieu de vivre; survit et pratique de l'autocosommation. La monnaie circule certes et après repart dans des circuits non métrisables par l'autiroté financière, car les populations fragiles  ont plus confiance dans la tésorisation que de mettre de l 'argent dans les banques puisque craignant la perte de ce qui les permets à faire face au marché parallèle (l'informel).

 

     L'informatique n'étant pas déjà accessible à tous ni même au niveau des universités, il est difficile que les enfants au sortir des formations connaissent l'importance de la "digitalisation" qui est une technique de comptabilsation des dépositaires de comptes. les politiques non attrayantes de certaines institutions bancaires ne peuvent permettre déjà simplement  une information fillable de ce qu'est une banque aurpès des populations.

 

    Ce que je veux insinuer est qu'il faut  impérativement vulgariser cet outil qui est la banque pour permettre m'éclosion de certaines classes qui bénéficierons du crédit. Et donc les sortir de l'analphabétisme. Il est possible d'élever le niveau et de la bancarisation et des populations par les moyens des politiques volontaristes en crayant des cannevas leur permettant de vite s'y accommoder  l'exclusion au circuit économique des populations fragiles est due à la manière dont les autorités mènent  les projets d'insertions. L'interressement uau circuit bancaire des communautés fragiles demeure un projets pour chaque état voulant voir sa population évoluée. L'insertion économique par la bancarisation des populations fragiles n'est pas une difficulté. Aussi les populations fragiles qui oeuvrent dans l'informel et tésorisent leurs argent par crainte des banques ne sont pas incrédules par leur propre vouloir. Les autorités en sont responsables.

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