Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

Présentation

  • : ASSOCPIJ OVER-BLOG.com
  • : Cet espace est un cadre dans lequel l'association donne ses informations et divulgue ses différentes activités;;mais surtout la publication des ateliers et conférences ,aussi un cadre d'échange et de persuasion sur ce qu'est un coaching.Ce blog est un moyen à travers lequel nous sensibilisons les spécialistes et personnes dans le besoin de formations. ainsi sont affichés ici les différents ateliers et conférences sur la problématique de l'insertions des jeunes et des personnes adultes. des études comparatives entre les pays développées et non développés sont ici énumérées, pour donner enfin un aperçu sur toutes les stratégies de régulation du chômage.,enfin cet espace est un lieu où nous informions selon l'actualité en vigueur dans le monde économique.
  • Contact

Profil

  • MARCK- STENDHEL
  • Association apolitique,Loi 1901.Siège social en FRANCE à AMIENS et bientôt une antenne à BRAZZAVILLE pour un projet dans l'optique du Codéveloppement. Économiste, spécialisé sur les problématiques du développement. ,présentement Formateur/Conseiller (Insertion Professionnelle) à mon actif plusieurs
  • Association apolitique,Loi 1901.Siège social en FRANCE à AMIENS et bientôt une antenne à BRAZZAVILLE pour un projet dans l'optique du Codéveloppement. Économiste, spécialisé sur les problématiques du développement. ,présentement Formateur/Conseiller (Insertion Professionnelle) à mon actif plusieurs

Texte Libre

Recherche

Texte Libre

Archives

14 mars 2017 2 14 /03 /mars /2017 21:43

 La montée des populismes en Europe inquiète autant les peuples et les nations au sens que certains dirigeants des partis extrémistes imputent la responsabilité des échecs de politiques de développement à la perméabilité des frontières due à une législation européenne , ne favorisant que les étrangers venus d'autres pays pour travailler dans des pays dits de l'Europe centrale si non des continents pauvres.

  A cet effet la mondialisation qui est une unification économique et financière mondiale prend un e connotation subjective au point de voir l'étranger comme cette personne venue d'ailleurs pour piller chez les autres leur travail et les avantages. Ainsi que  le peuple Britannique vient d'émettre un souhait  allant dans le sens de quitter l'union Européenne  mais surtout appuyer par un référendum populaire. les extrémistes de tout bord veulent emboîter le pas pour mimer le BREXIT Britannique.(les pays Bas, les Catalans et autres...)

  Et si l'Afrique tentais aussi de s'organiser autour d'une idée: celle de fixer désormais les prix des matières première et de penser à leur transformations directe sur place que deviendront pays occidentaux qui profitent jadis de l'influence qu'ils ont du fait de détenir la technologie? L'Europe n'est seulement en avance technologique cependant que l'Afrique détient à elle seule plus de la moitié des richesses en eau, minerais, coltans et uranium etc...ce qui gène dans ce continent c'est le manque d'un patriotisme économique en sus du fait qu'il n'y a pas de prise de conscience de la grandeur de ce continent en ressource humaine et de ses réserves énergétiques. Tant que la mondialisation profitera aux puissants; nous assisterons à l'éclatement des ensembles dont font partis les pays amoindris.

  Le seul fait de ne pas profiter dans un sens des retombées de cette ouverture vers le monde par le simple fait d'être retenus comme continent pourvoyeur de matière première et transformatrice alors la révolution Africaine aura bien lieu d'ici les années à venir. Le printemps Arabe aurait pu amener cela mais malheureusement étouffé et repris par les tenants de la France-Afrique de peur de voir un éveil du côté des intellectuels Africains.

Partager cet article
Repost0
24 janvier 2017 2 24 /01 /janvier /2017 08:48

    Les émirats arabes unis sont dans un e dynamique de développement visant à la diversification de leur économie pour prévenir un lendemain meilleurs aux générations futures; cependant qu'en Afrique au sud du Sahara les économies se cherchent encore car souvent dépendantes de l'aide au développement et à l'importation des produits de premières nécessités en sus des services et produits manufacturiers.

D'emblée un écart se creuse entre ces deux entités à savoir les pays de la péninsule arabique d'avec ceux des Africains vivant au sud du Sahara où le climat est favorable pour toute aventure économique dans une optique de développement pour sortir du chaos dans lequel se trouve cette partie du monde; où un individu vit avec environ moins d'un dollar par jour.L'étude comparative que nous menons ici est simplement un aperçu de la vision d'ensemble de ce qui caractérise la stratégie de chacun des entités et de fait établir les différences qui font l'avancée des autres par rapport au continent noir dans sa partie centrale.Nous partirons ici d'un fait simple pour éluder notre vision: la production et l'exploitation des matières premières communes.

   Le pétrole est autant exploité et produit aux émirats comme en Afrique centrale en passant par l'Algérie et le Nigeria; pourquoi  alors le développement économique est aussi signifiant aux émirats Arabes qu'en Afrique?

A cette question une remarque s'impose c'est que dans les pays Arabes du golf ou de la péninsule, la conscience et le patriotisme n'ont  pas le même degré qu'en Afrique au sud du Sahara. Mais aussi il faut ajouter à cette argumentation le fait de la prise de conscience des élites Arabes pour le développement de leur pays en tenant compte du fait de l'épuisement de la matière première un jour (le pétrole).

Pour le cas d'espèce nous allons prendre quelques pays dans le bassin du Congo qui produisent du pétrole et d'autres minerais; Le Gabon, le Congo, L'Angola; du point de vu des investissements à l'étranger quel est le pays parmi ces trois qui a une forte pénétration dans le commerce mondial? au mieux quel est le pays dont le taux d'investissement avoisine 1% du marché mondial? aucun à ma connaissance.

Ce pendant aux émirats arabes unis la conquête du monde est effective au sens où les investissement tant locaux qu'à l'étranger sont significatifs, car ces pays préparent l'après pétrole. D'où une l'on constate une forte poussée de ces pays dans les investissements dans la culture , le sport, les services, le tourisme et la construction des infrastructures industrielles.

   ABOU-DHABY et DUBAI sont devenus de grandes attractions non seulement touristiques mais commerciales, ramenant à ce pays une entrée massive de dollars. Pendant que les pays du bassin du Congo attendent un renfort du FMI et de la Banque Mondiale, les émirats arabes eux pensent au futur de leur population c'est ainsi qu'ils ont envahi les économies occidentales en investissant dans les grands groupes du CAC40, aujourd'hui plus rien ne se fait dans les pays de l'OCDE sans un apport des émirats arabes. 

 Fondée en 1971 la fédération des émirats Arabes oeuvre pour une politique qui consiste à vouloir tout créer sur place pour ne plus dépendre des fournisseurs stratégiques,(usa) ainsi le pays n'achète plus; mais fabrique lui même les modules photovoltaïques et thermiques pour le renforcement de son énergie. Le secteur non pétrolier a atteint une valeur d'environ 64% du PIB global ainsi l'on remarquera une augmentation de la diversification de l'économie à partir de 2013 ce qui amène la balance commerciale (excédentaire) à 25% du PIB. Contrairement à l'ensemble des pays de la CEMAC qui pour vivre sinon survivre font appel aux FMI et à la banque Mondiale pour sollicitation des aides au développement.

Sur le plan local l'économie est diversifiée longtemps reposant sur la vente exclusive du pétrole aujourd'hui les émirats arabes misent sur les énergies renouvelables telles que du solaire et de l'éolien...la grande politique de l'urbanisation est un fait concret dans cette région du monde pendant qu'en Afrique les populations vivent des inondations dues à la non assainissement des villes ; exportateur de gaz les émirats arabes investissent grandement dans les nouvelles technologies pendant qu'en Afrique ils attendent de l'aide des anciennes colonies pour développer ce secteur des NTIC. Pendant que cette fédération des émirats est comptée parmi les économies mondiales connaissant les plus forts taux d'expansions économiques ; les pays de la CEMAC (organisation économique et douanière dans la sous région) se cherchent encore une conduite du développement; ne sachant comment sortir de l'emprise de la dépendance au pétrole comme seule source de revenus; ce qui est criard tant dis que ces pays regorgent de grosses réserves de minerais.

  Les Emirats arabes ont constitué jusque là une réserve d'environ 850 milliard de dollars en sus des fonds souverains dont ils disposent; fini l'époque de la monoculture c'est à dire du tout pétrole, aujourd'hui l'on parle en termes de la diversification de l'économie pour faire face à l'après pétrole. Dans les pays du bassin du Congo la population vit en dessous d'un dollar tant dis qu'aux émirats on importe de la main d'oeuvre asiatique.

La vision futuriste des responsables de cette contrée du monde est très différente de celle des dirigeants Africains au point de penser qu'il manque à ce continent des compétences.

  Loin d'y penser, à mon avis, la problématique se trouve dans la non prise en compte des situations réelles et le niveau de corruption est criard et pourtant du point de vue des ressources minières l'Afrique dépasse de loin les pays du golf et de la péninsule arabique, à savoir le sous sol Africain n'a pas que du pétrole il y a du diamant du coltan de l'uranium et j'en passe alors qu'est ce qui fait que les pays qui ont connu leur indépendance à peine dans les années 70 se développent plus vite et deviennent ensuite des pourvoyeurs de l'économie mondiale?

Partager cet article
Repost0
12 décembre 2016 1 12 /12 /décembre /2016 21:51

Pour élucider cette problématique il est important ici de dire ce que c'est que le travail détaché de manière à en dégager les conséquences; pour en fin tirer les conclusions sur ce flux migratoire. dans le le cadre de la mondialisation de l'économie on entend par travail détaché; le flux migratoire des populations actives vers les pays où le capital humain est demandé mais souvent à des coûts compétitifs sinon moindres.

C'est ainsi l'on a remarqué vers les pays de l'OCDE une avancée démographique des populations venant des anciens pays de l'EST et de la corne Africaine dans l'objectif de proposer la main d'oeuvre. cette pratique n'est pas sans conséquence pour les pays à fort taux de migration aussi que l'on pourrait  le penser pour ces nations d'où arrivent les migrants. Au delà de ce que les économies bénéficient du fait de cette pratique on note: une augmentation des infrastructures manufacturières, une montée des industries et fabriques du fait des délocalisations, et en fin l'augmentation d'un pouvoir d'achat des populations autochtones.  

 Par contre pour les pays de l'OCDE il arrive, contrairement à la chine qui bénéficie des effets des délocalisations, un désordre au sein du marché de l'emploi et par conséquent une montée du chômage (Angleterre et France) car les populations qui arrivent généralement proposent à des coûts bas leurs mains d'oeuvre et implicitement s'organise autour des chantiers un travail clandestin. Comme la réglementation au niveau de l'Europe   ne contraint pas ces peuple à payer une cotisation sociale pour les pays accueillants il s'opère ainsi un déficit des comptes sociaux des états receveurs d'immigrants en détachement. La chine reste ainsi le creuset d'énorme bénéfices de la mondialisation au détriment de l'Afrique pourvoyeuse des matières premières naturelles, tout aujourd'hui sort des usines chinoises l'Europe la vieille dame ne produit plus que les services.

C'est l'une des raisons qui a motivée les Britanniques à sortir de l UE (BREXIT). La crise est atroce, et l'Europe tremble car les lendemains sont lugubres si rien n'est fait pour tenir compte des aspirations des peuples. Aussi longtemps que l'ultralibéralisme conduira le monde; fort est de constater une montée des populismes. Le déséquilibre dont il est fait mention au départ s'explique en ce sens que les pauvres demeurerons pauvre et les riches toujours plus accumulateurs. L'Allemagne championne des petits boulots ne supportera seule le départ de l'Angleterre de l'union européenne, le challenge chinois continuera d'envahir certaines économies faibles en Europe. 

Partager cet article
Repost0
2 novembre 2016 3 02 /11 /novembre /2016 10:17

Cette séquence va nous permettre d'épiloguer un temps soit peut sur ce que la mondialisation produit comme conséquences dans la sphère socio-économique et politique des nations tant "civilisées" que celles sur le chemin  de l'industrialisation.

    La mondialisation de l'économie aujourd'hui telle que pratiquée reflète -t-elle l'esprit des premiers penseurs de ce concept? dans une mesure oui au sens que la circulation des biens et personnes prend de l'ampleur mais surtout au bénéfice des pays nantis car l'Afrique d'où toutes les matières premières proviennent n'en retire des miettes.Oui les capitaux circulent les hommes également mais vers quelles directions? Ainsi l'Afrique se voit dépouiller de ses meilleurs élites.

  La gouvernance tant évoquée en démocratie et dans les pays développés s'organise autour de cette nouvelle donne; pour orienter la recherche des capitaux et de l'innovation au profit des grands lobbys multinationales avec lesquelles ils ont des partenariats. La gouvernance en économie mondialisée sert les élites au détriment des peuples; car aujourd'hui l'on voit une montée des populistes réclamant l'arrêt de l'ultralibéralisme dominant qui au lieu d'apporter un mieux vivre aux peuple, provoque au contraire des mécontentements puisque la misère grandissante conduit à la paupérisation.

 La démocratie, longtemps mise en avant partout dans des pays dits évolués prend du sens certes dans sa pratique institutionnelle mais pour ce qui est de la vie du peuple profond il y a une rétrospection à faire; oui il  y a de la liberté des peuples de jouir du temps et de l'espace en sus du droit de vote de tous mais il reste que dans la redistribution des avoirs publics ; un déséquilibre demeure probant. En pays sous développés et donc moins industrialisés rien de cette pratique n'apporte au peuple un minimum; dès l'instant où les matières premières circulent , les capitaux rentrent malgré le fait de constater que les termes d l'échange restent défavorables, les élites politiques s'organisent à faire que les profits servent la classe politique et le clan au détriment bien sûr des cardes et la populations.

  Le peuple se trouve être escroqué dans cette nouvelle donne économique la preuve les soulèvements actuels depuis l'ère du printemps arabe n'en finissent guère, les élites politiques tant en occident que dans les pays sous développés se partagent les subsides de cette forme d'escroquerie car souvent les multinationales et les grands lobbys de l'agroalimentaire et de la chimie organisent des colloques , des forums et des conférences qui cachent la grande magouille (celle de se partager les bénéfices de cette économie) au peuple qui reste lui manipulé.

  Qu'est ce qu'on a pas constaté aujourd'hui les anciens chefs d'états reconvertis conférenciers, ou experts , par ci et par là du Qatar à Dover  prenant des grandes décisions qui jamais n'ont changé d'un seul iota la vie réelle du paysan du fond fin de l'Asie ou de l'Afrique puis qu'utilisant toujours le bois de chauffe pour faire sa cuisine. Le paysan Africain continue de faire son champs avec une houe et machette.

  Les élites mondialisés en face des peuples pour les quels les décisions sont prises paraissent au final comme des escrocs aux yeux de ceux là qui votent régulièrement lors des grands événements. Si cet argent pouvait être reverser dans des associations oeuvrant pour la santé l'école et l'éducation de la jeunesse je pense que les choses iraient de l'avant. Malheureusement la jeune est abusée rien ne semble aujourd'hui la faire changer d'avis sur les politiques, d'où l'engouement vers les partis souverainistes et populistes. dans les pays du nord et en Europe centrale les peuples réagissent en ce sens d'où le BREXIT du côté de l'Angleterre.

La mondialisation sert certains mais dessert d'autres. Si aux usa la tendance au vote permet au républicain de talonner la démocrate (environ 40% à 35%) c'est parce que le discours de ce dernier plait au peuple en souffrance, si en France le FN attire certaines gens c'est simplement à cause de la souffrance d'un peuple face à cette économie qui ne sert que les élites politiques autour d 'un conglomérat de décideurs. La mondialisation et en son sein l'union européenne sont à revoir du point des objectifs et de leurs philosophies.

 " Tant que l'homme (l'humain) ne sera pas pris en compte dans les grandes décisions de ce monde le risque de l'explosion est probable".

Pour revenir à la mondialisation de l'économie, un aspect de cette pratique est à mettre en évidence: il s'agit des conséquences que provoque e management économique à l'échelle mondial; que nous évoquerons dans cet appendice. La mondialisation  ou l'économie globalisée a en fait donné au pays comme la Chine une capacité à pousser son émergence économique et industriel vers des sommets que n'aucun ne réfute aujourd'hui car présentement ce pays compte parmi les plus puissants de la planète.

Aussi le pouvoir d'achat des chinois a augmenté d'un cran faisant évoluer la classe moyenne. La chine a bénéficié de toutes les délocalisations inhérentes à la globalisation ce qui a dopé sa propre économie et de ce fait son industrie. Comparativement aux pays Africains qui sont restés consommateurs des produits manufacturés venant aujourd'hui de cette même chine au travers les sociétés impliquées dans les NTIC.

Pendant que la population moyenne chinoise évoluent celle de l'Afrique régresse puisque la pauvreté est sans cesse flagrante. Les banques et la finance internationale gagnent de cette pratique au détriment des populations des pays pauvres qui du reste payent un fort tribu cependant que la classe moyenne occidentale émerge. C'est ainsi que l'on remarque un peu partout comme je l'ai souligné tantôt: l'apparition des populismes dans certains pays où la paupérisation s'accroît, où le pouvoir d'achat des travailleurs ne cesse  de dégringoler profitant simplement aux multinationales pourvoyeuses des lois de marché. En Espagne au Portugal et en Italie que ne constatons nous pas?

Le BREXIT (2016) en grande Bretagne est la conséquence formelle des effets de la mondialisation qui ne profite en fait qu'à la grande finance et au final le peuple a tenté de répondre par le vote en indiquant aux décideurs politiques la voie à suivre. L'effondrement d'une classe moyenne dans certains pays d'Afrique est du à la non redistribution égale des fruits de la mondialisation ainsi l'on assiste à la fuite des cerveaux vers les pays prometteurs comme le canada; des fils et filles Africains ne se reconnaissant point dans la distribution actuelle des richesses que souvent tenues par une poignée de personne aux commandes.

Partager cet article
Repost0
28 octobre 2016 5 28 /10 /octobre /2016 10:03

Le numérique, est une connaissance, un savoir, que d'aucun ne peut négliger dans le processus de développement des sociétés actuelles où les NTIC font partie intégrante de la sphère administrative industrielle et économique des états. Quand on parle du numérique on fait automatiquement la liaison d'avec l'informatique et toutes les applications qui y réfèrent, aujourd'hui dans tous les domaines du développement d'un pays l'on peut concevoir un projet sans tenir compte de  la fibre optique  et tous les avantages qu'elle procure.

 Ne pas avoir cette connaissance  donc ce savoir et son applicabilité dans toute l'économie, ferait-il l'objet d'un illettrisme? Voici poser ici la problématique dont souffrent les pays Africains en mal de développement. Le numérique est transversal, il est le focus central du développement car il intègre toute la sphère des problématique du développement partant du domaine de la santé, de l'éducation et de l'agriculture en passant dans l'industrie et les entreprises...

 C'est en définitive une nécessité économique, mais malheureusement dans le continent Africain l'utilisation des smartphones  reste un luxe et souvent réservée à une élite. Le numérique est un outil, une connaissance qui devrait être vulgarisée de manière qu'il devienne un levier important de lutte contre la pauvreté. L'inapplicabilité de cet outil au profit de la grande masse  à travers des formations et de l'initiation devient un obstacle au développement.

Comment comprendre à l'heure où les ntic croient à une vitesse vertigineuse qu'en Afrique cet outil soit moins utilisé? C'est ainsi que nous demandions à travers les colloques et atelier de sensibilisation en ligne et en présentiel de vulgariser cette pratique en facilitant l'accessibilité aux outils de communications. Multiplier les développeurs, webmaster, et intégrateur donnerait à l'Afrique un atout de pouvoir se mettre au niveau des pays du continent asiatique qui là bas l'utilisation du numérique est intégrée à la vie sociale.

 En exemple : un smartphone a en son sein toutes les données permettant de communiquer avec l'extérieur à travers des applications qu'il faille activer, mais malheureusement que certains actionneurs africains dans différents pays oeuvrant dans l'informel sont incapables d'utiliser, les étudiants également très éloignés de cet outil sombrent dans la non connaissance de ces appareils pour le simple fait de la non connaissance des avantages que peut offrir cet outil. D'où l'importance de la réduction de la fracture numérique dont j'ai parlé tantôt lors d'un atelier précédent.

L'ordinateur, la tablette, et le téléphone sont des outils très utiles de nos jours car souvent les médecins transmettent des cours en VISIO à des étudiants se trouvant à des kilomètres de distances. La formation, l'initiation aux pratiques du numérique est impérative.L'interchangeabilité des informations académiques se passe aujourd'hui par le canal du numérique.

C'est pour dire combien cet outil est important pour l'évolution du monde actuel. Ne pas savoir s'en servir et au préalable n'avoir aucune connaissance à propos constitue ce que j'appelle l'illettrisme numérique. Les pays d'Afrique où l'informatique paraît comme une magie reléguée aux élites, paraît donc comme obstacle pour la couche sociale populaire.

 La non intégration de ce savoir et de ces connaissances dans la sphère du développement d'un pays est un obstacle, un frein qui à la longue causera de grands retards à l'épanouissement des individus constituant la communauté.

Le numérique ne doit pas que servir les élites mais plutôt tout le monde de manière que sa vulgarisation permette aux paysans et étudiants de pouvoir être au contact de la connaissance et de grandes trouvailles du monde.

 Les pays où la fibre optique n'est pas, à mon sens, éprouverons des difficultés à embrasser le décollage vers une émergence, et de fait les cadres formés dans ces contrées connaîtrons le risque de la non compétition intellectuelle face aux étudiants sorties des pays où le numérique intègre leurs formations. dans tous les domaines d'activité d'une nation s'il manque le numérique aujourd'hui rien ne peut avancer au risque de demeurer traditionnel.

Le numérique est un atout de développement et les pays Africains devraient mettre un accent prépondérant sur cet aspect du développement. L'indépendance passe aussi par cet outil, c'est un choix prioritaire que chaque décideur devrait intégrer dans tout projet. Si ce secteur est développer le chômage peut alors être absorber et la diversification de l'économie passe par  ce canevas. 

Partager cet article
Repost0
22 octobre 2016 6 22 /10 /octobre /2016 12:03

Les sociétés occidentales dans la majeur des cas ont profité de leurs capacités intellectuelles et morales pour se bâtir un schéma de développement économique et industriel, dans le même temps, les pays dits à économie planifiée, ont évolué en tenant compte du socle qui se sont construit; celui  des fondamentaux comme l'infrastructure et la superstructure.

   Quand Max Weber mise sur l'éthique protestante et l'esprit du capitalisme (mentalités valeurs et croyances; rationalisation des pratiques religieuses), Karl Max lui fonde sa théorie sur les déterminants comme la structure de la propriété, les rapports de productions et les modes de pensées d'avec la répartition du pouvoir. Il revient ici la question de savoir de savoir si l'Afrique pour son schéma de développement industriel et économique devra -t-elle adopter la thèse de M.WEBER ou celle de Karl Max? Seulement il faille remarquer que les africains dans l'ensemble ont un mode pensées et des pratiques religieuses; et donc une cosmogonie les permettant de bâtir une ligne, un schéma de développement. Mais qu'est ce qui coince?

     L'Afrique a connu dans les siècles très lointains un traumatisme qui jusqu'à nos jours reste proéminent ( la traite des noirs) ajouté à cela la colonisation et le pillage des richesses. Mais les indépendances ds années 60 ont donné à chaque pays un semblant de liberté qui permet néanmoins de faire que ce continent se réveille et travaille. Nous avions dans cet ensemble; un sinon des égrégores comme partout ailleurs et dans toutes les cultures pour en faire une base éthique qui conduirait tous nos projets.Le protestantisme, il faut le concevoir dans un angle idéel de manière à apporter dans sa rationalisation une émergence progressive des activités en corrélation avec la religion.

     C'est pour dire que l'idée première est celle ici de mettre en exergue les valeurs: travail,l'abstraction aux émotions à la coutume et aux traditions. Ne tenir compte que de ce qui élèverait l'homme à savoir se prendre en charge car le libre échange demeure le moteur de toute évolution. A la différence du catholicisme  le protestantisme de M Weber montre comment les calvinistes ont user de la rigueur pour faire évoluer les sociétés,

   Mais pour l'Afrique j'ai dis que nous avions nos modes de pensées et aussi nos traditions d'avec nos émotions le mieux serait d'aller vers les couloirs nous conduisons vers l'émergence individuelle en se donnant les moyens d'agir chacun dans le respect d'un épanouissement choisi. Le développement économique est possible par les divers schémas ici relatés mais l'important est de savoir quelles sont les potentialités africaines à pouvoir mettre en émoi toute la règle disciplinaire qu'exige le protestantisme, aussi quelles sont nos pesanteurs traditionnelles afin de savoir saupoudrer tout cela et en faire un socle. depuis la fin des indépendances en Afrique souvent des théoriciens sont venus dans c continent pour proposer des pistes en aveuglant les intelligences africaines pures, aujourd'hui l'Afrique possède une crème, une intelligentsia capable de mimer sinon de produire un schéma cohérent de développement économique et industriel pouvant rivaliser avec les anciennes théories des vendeurs d'illusions.

   Ce que les occident ont l'homme noir l'a aussi , regardons autour et tirons donc profit de notre cosmogonie et produire un canevas, avec des patriotes et non des marionnettes aux services des destructeurs de ce continent. c'est un problème de prise de conscience simplement car tout est là i suffit d'en user bonnement. 

Partager cet article
Repost0
17 octobre 2016 1 17 /10 /octobre /2016 17:38

Pour commencer à mettre en exergue cette forme de développement que certains pays ont eu à expérimenter il convient ici de dire en quelque mots ce qu'est une coopération décentralisée et voir les liens d'avec la coopération économique décentralisée afin d'en tirer les bénéfices pour les pays Africains dans leur processus de développement.

 

                     A- LE CONCEPT DE LA COOPÉRATION DÉCENTRALISEE

 

   La coopération décentralisée est un outil de développement que tous les acteurs au sein d'une communauté utilisent pour la distribution des biens et services entre ceux qui produisent et ceux qui consomment, il peut s'agir des pays du nord vis à vis des pays du sud dont les besoins sont innombrables puisque ne les produisant pas. Il peut s'agir de l'envoie des cardes et techniciens pour soutenir un projet d'adduction d'eau potable entre des experts d'une municipalité et et les habitants d'une commune rurale en Afrique.

 

                     B-LE CONCEPT DE COOPÉRATION ECONOMIQUE DÉCENTRALISEE

  Dans cette acceptation le concept évolue dans la mesure où il intègre la dimension à l'internationale faisant appel dans sa manifestation à l'implication des sociétés et entreprises étrangère pour l'investissement, lorsque dans le concept de la CD il ne s'agit que de la distribution des biens et services ici par contre entre en exergue l'application des entreprises multinationales dans le développement des infrastructures, et donc l'investissement dans les grandes œuvres pour le développement économique des pays avec lesquels on coopère. Les deux concepts tirent leur différence à ce point et ce qui serait mieux pour les africains dans un angle de vision futuriste est d'aller plus dans le sens d'une coopération économique décentralisée.

  La CED est une rupture d'avec la CD, si la CD est un outil de création de marchandises au niveau local, la CED fait elle appel aux entreprises pour crées de la richesse, pour investir et créer de l'emploi, l'internationalisation des entreprises à cet effet devient un levier pour booster les compétences de ceux des pays qui reçoivent puisque bénéficiant des connaissances (techniques). dans ce module y participent aussi des sociétés Publiques- Privées pour contribuer au développement. Le sens de la coopération devient alors marchand, la valeur solidarité qui prime dans le premier cas disparaît, car les crises à répétition qu'ont connu les pays développés leur ont permis de faire évoluer ce paradigme dont les africains devraient s'en inspirer ne serait ce que même au sein de la région. La CD est l'ancien modèle de coopération, aujourd'hui il est question de la logique nouvelle celle de la coopération marchande où le gagnant gagnant primerait.

La pénétration des entreprises marchandes dans la sphère africaines devraient en définitive faire que les choses connaissent une mutation en tenant compte de l'aspect écologique, environnemental ,et la vulnérabilité des in put et out-put concourant à l'édification des sociétés nouvelles. La CED est une opportunité qui apporte d'autres réalités dans les échanges entre pays nantis et ceux en développement. La CED est une prémisse à la mondialisation où l'économie devient comme une toile que tous pourront tisser à condition ces hégémonies qui arrivent participent hâtivement au développement,  sans pervertir l'humain qui du reste devrait en fait être au centre de l'économie.

  Pour ma part j'opterais pour la nouvelle donne celle de la coopération économique décentralisée au vue des avantages qu'elle procure en terme de compétences et du changement que cette pratique apporte.Mais toujours est-il qu'une question reste entre les esprits des acteurs ou mieux de ceux là des peuples qui réclament le développement s'il en était conçu comme le changement , l'amélioration des conditions de vie, les animateurs sont -ils prêts à faire que l’Afrique profite des échangent venant du nord? Il me semble qu'il faudra à ce niveau des patriote de l'économie aux affaires pour faire évoluer non seulement les mentalités mais aussi les structures de développement et donc mettre à la disposition des investisseurs un ensemble de moyens permissifs pour la réalisation des infrastructures socio-économique et industrielles.

                                           LE PARADIGME AFRICAIN ACTUEL EXISTE -T-IL ?

 L'Afrique aujourd'hui à l'orée du 21ème siècle continue de tâtonner entre diverses modèles de développement, tantôt l'on part du côté du développement autocentré et auto dynamique des économistes du sud, tantôt encore vers une démarche qu'impose les ex colonies selon que leurs besoins évoluent en termes de l'échanges où les pays du sud resteraient des pourvoyeurs de matières ^premières et l'occident dans le rôle historique de pourvoyeurs de produits finis. Le paradigme Africain en ce moment là est confiné au rôle que lui impose les puissances étrangères, et donc à cette Afrique de trouver des canevas nouveaux pour sortir de l'état dans lequel se trouve ce continent.

La transformation des matières premières est toujours faites à ailleurs et de ce fait n'apporte la valeur ajoutée qu'aux pays détenant la technologie et les technique de transformations mais bien non transposables. Le paradigme Africain auquel nous faisons allusion en réalité n'existe pas si ce n'est le rôle que les pays de l'occident nous confèrent jusqu'à ce jour de la mondialisation des économies, même à ce stade rien ne semble aller de l'avant si ce ne sont la floraison des guerres et la destruction des peuples par les épidémies et les famines.des slogans nous font croire que l'Afrique sera le continent de demain ,à en croire , j'aimerai que déjà soit amorcé un petit changement des mentalités ne serait que dans la gouvernance et au mieux dans la conduite de l'union Africaine pour faire adopter et accepter des résolutions d'une vraie intégration économique. Beaucoup de pays en Afrique souffrent encore d'un mal qui condamne l'Africain à vivre avec moins d'un dollar et l'on pense à l'émergence d'ici 2025, du rêve et des chimères tant que rien ne sera pris au sérieux au sens de mettre d'abord des bases d'une émergence.

Nombreux des pays sont dans le paradigme de l'autodestruction avec les différentes guerre et beaucoup de conflits souvent ourdis par ceux là qui détiennent la finance du monde. Tant qu'il y aura des guerres et des conflits mieux se vendront les armes et au mieux encore les économies occidentales trouverons des marchés pour écouler leurs savoirs dans la constructions des infrastructures, de communication, de transport, et autres.Les chômeurs mondiaux trouverons en Afrique un eldorado.

 Le transfert de technologie que demande l'Afrique depuis les indépendance n'arrive toujours pas; n'est -il pas possible d'opter pour la revalorisation des compétences locale de sorte à sortir du complexe dont nous souffrons? le chinois l'ont prouvé car en 70 la chine était encore un pays qui copiait chez les autres. Aujourd'hui ce pays (continent ) est compté parmi les plus grand de ce monde, le collectivisme à la soviétique n'est plus qu'un souvenir......(J.R.L) 

Partager cet article
Repost0
24 septembre 2016 6 24 /09 /septembre /2016 11:19

" Un philosophe disait: science sans conscience n'est que ruine de l'âme"

Les siècles de lumière ont apporté l'ouverture des esprits, la liberté et l'inventivité, ceci ne peut être récuser car l'évolution du monde occidental en dépend. Ce petit atelier que je propose ici concerne donc l'intelligence de l'homme noir et son implication dans le monde en perpétuel mouvement. Les questions que je me pose sont celles-ci: L'Afrique produit-elle ou pas sur le plan intellectuel et donc scientifique? qu'elles sont les impacts de l'inventivité africaine dans le circuit mondial de la création? Avions nous des capacités créer dans le sens d'un développement harmonieux de l'Afrique?

L'Afrique étant le socle de l'humanité depuis l'ère égyptienne (antique) toutes les découvertes sont parties de ce continent car souvent de Jésus Christ à Thalès et Platon jusqu'à l'apogée de la civilisation Gréco-romaine les sciences ont eu pour naissance cette Afrique (cf Pr.Tcheck Anta Diop dans ses écrits). Qu'est ce qu'on entend par économie de l'intelligence? oui il est vrai que toutes les inventions scientifiques et humanitaires sont l'oeuvre des savants aussi noirs qu'occidentaux (les mathématiques par un esclave noir américain, la lampe à incandescence (ampoule) un noir américain... n'ayant point d'influence sur cet environnement les différents brevets sont attribués à ceux là qui ont été protégés par les grands groupes de pressions de l'époque.

A L'Afrique produit-elle sur le plan scientifique ou intellectuel?

La production intellectuelle ou scientifique africaine ne peut à l'heure actuelle être comptabiliser dans la mesure où tous les grands laboratoire de recherches se trouve en occident hors-mis quelques productions littéraires car le rapport de force dominant penche du côté de ceux là qui détiennent l'appareil de production et le capital. c'est ainsi que tous les travaux émanant des Africains se voient être récupérés implicitement ; il s'en suit qu'il est difficile de mesurer l'impact de la créativité (inventivité) africaine dans le circuit mondial.

B Capacité à créer dans le sens d'un développement harmonieux de l'Afrique

Il est également ici difficile dans ce paradigme du développement harmonieux de l'Afrique de s'attendre à ce que les créations et inventivités africaines planchent sur cet aspect au sens que rien n'est sous brevet africain aujourd'hui, rien ne permet aux africains de se donner la capacité de breveter leurs inventions et donc la reconnaissance par le monde est difficile.

C L'économie de l'intelligence

L'économie de l'intelligence consiste à penser la création ou l'inventivité au sens qu'il apporte à l'homme l'essentiel de ce qu'il peut ou doit utiliser pour son existence. Le superflu n'est pas une norme dans ce paradigme, ainsi la surproduction qui inonde la consommation tue l'économie d'où les différentes crises. Les brevets d'inventivité viennent de l'occident, la production intellectuelle et scientifique vient également de cet espace finalement alors les que Africains se ruent dans les guerres interminables à grande destruction des moyens de productions naissants. Ce qui me donne ici le moyen de dire qu'il est préférable de nos jours de penser à une production scientifique Africaine consciencieuse et normée aux attentes des peuples de ce continent.

Ne pas attendre que l'inventivité vienne de l'occident ou de l'Asie au travers de la coopération Sino-Indo- Africaine.L'afrique se développera par la touche unique des enfants de ce continent. Mais le développement ne construit étape par étape en ne comptant que par ses moyens. Ici nous devrions nous appesantir sur la recherche et la production pour comprendre le concept de l'économie de l'intelligence. le monde actuel court à une vitesse vertigineuse et donc la course à la productivité et au profit motive les créateurs et inventeurs à toujours être parmi les plus plébiscités, alors que nous conseille l'économie de l'intelligence? Il est question de mettre en avant des stratégies, des méthodes et de l'éthique pour envisager toute sorte de lancement d'un produit depuis donc sa genèse jusqu'à son "tarissement" c'est un travail de grande réflexion si l'on se situe une fois sur le terrain du numérique et du nucléaire. Les politiques des pays Africains qui sont aux commandes des projets dans l'invention devraient mettre à la disposition des chercheurs et inventeurs des créneaux les conduisant à bien cibler les produits à proposer en tenant compte de leur propre capacité à émettre des piste de travail. Le langage ici est codé je le fais exprès car la science est mystique et codifiée.

" Concevez et produisez en tenant compte de vos réservoirs substantiels"

Partager cet article
Repost0
2 septembre 2016 5 02 /09 /septembre /2016 12:25

L'Afrique et les Africains me semble -t-il sont dans une configuration d’autodestruction car souvent les politiques nombrilistes n'acceptent pas l'alternance; et de fait l'histoire de la reconstruction devient récurrente. Je m'insurge ici avec comme soucis majeurs l'évolution et l'épanouissement du peuple Africain mais pris en otage par ceux là des fils de ce continent aux dents longues qui ma foi s'organisent autour du clan ou de l'ethnie pour s'accaparer tous les biens des nations au détriment du peuple souverain qui en dernier ne l'est pas d'ailleurs.

La Tunisie de BEN ALI , la Libye de KADHAFI et la Centrafrique de BOKASSA et le SOUDAN sont des exemples patents qui donnent du tourniqué aux théoriciens du développement de penser d'autres méthode de construction économique pour cette Afrique aussi longtemps que perpétuellement il aura des guerres. Les population émigrent vers des zones propices, et certains périssent par manque du minimum vital car souvent nombreux vivent avec -1 dollar par jour.

Le constat est celui là qui nous interpelle puisque ce cycle revient tout le temps qu'une alternance est programmé: le cas de la côte d'Ivoire, et du Gabon aujourd'hui. Que faire alors pour renverser cette tendance et faire avancer le continent dans un climat de quiétude et de paix durable de manière à asseoir les économies pour des lendemains compétitifs? Dans le concert des nation telle qu'au G 8 et à DAVOS l'Afrique y est en spectateur non comme producteur des produits manufacturés,,, n'est ce pas là un échec de tout un continent?

Au festival de Cannes également et dans d'autres grands lieux d'exhibitions culturelles et économiques les dignitaires Africains aux affaires y vont pour leurs courses et se faire photographier avec quelques grands de ce monde, ce qui revient à dire que l'homme africain vit encore avec son nuage de complexes combien même élite.

Ma proposition au questionnement s'articule en ces termes: que le peuple souverain se prenne en charge en se donnant comme prince directeur la rupture avec la vieille classe de nombrilistes et collaborateur des fossoyeurs des économies. Une révolution serait la bien venue car depuis l'Afrique n'a pas sa propre révolution qui fera basculer les mentalités au profit donc d'un patriotisme africaniste. Les guerres en Afrique n'ont pas d'autres sources que le déchirement autour du contrôle des richesses entre les occidentaux et les populations en travers des politiques qui font le jeu au milieu du néocolonialisme. Car souvent ces responsables sont les valets de ceux qui les ont mis en les aidant à y demeurer longtemps au pouvoir.

La conscience première que les peuple se lèvent et fassent front commun contre les dictatures et les lobbyistes des multinationales. Seulement à cet effet ils verront l'horizon.Mais malheureusement cette Afrique même au sein de son ensemble il y a des traîtres qui œuvrent pour sa destruction et son maintien dans cet état de misère et de désolation.

Partager cet article
Repost0
19 août 2016 5 19 /08 /août /2016 09:55

L'économie est cette pratique qui consiste à systématiser tout un ensemble de productions d'une nation ou d'une entreprise en vue des échanges avec l'extérieur, c'est une science dont la pratique vise le développement au travers des données (grandeurs) observées et capables de booster la croissance.

Cette définition est discutable mais je la veux comme telle. L'économie Politique étant le maillon philosophique dont sont fiers nombreux des théoriciens, il est impératif ici pour étayer la problématique du jour (l'économie globalisée) dans le contexte des flux migratoires; de poser les déterminants de cette tendance et d'en relever les conséquences.Les flux migratoires ont toujours existé depuis la nuit la des temps depuis donc la découvertes des Amériques, de l'Afrique. Chaque année il s'opère au plus un départ vers les pays occidentaux des jeunes en âge de travailler, mais surtout aussi des cerveaux qui restent après leurs formations et études supérieures en Europe, ce qui cause un déficit dans les pays d'origine où ils ont reçu la formation de base; il s'agit des informaticiens des ingénieurs, des diplômés de grandes écoles qui devraient servir le continent Africain. Pour preuve sur 100 étudiants d'un pays quelconque qui viennent étudier à la fin 40 seulement rentrent au bercail, puisque souvent convoités par les multinationales des pays à fort taux d'employabilité.

Cette analyse ne tient pas déjà compte des clandestins qui eux ne cessent de venir par voix navigables pourtant très risquées, la problématique ne regarde que ceux qui y sont venus régulièrement et certains des cadres qui quittent le continent Africain à l'issue d'un stage et qui décident de rester. Il y a des cas de fuite dans tous les secteurs d'activités et surtout qu'aujourd'hui l'occident s'est ouverte au pays du monde ce qui facilite cette pénétration massive des jeunes venus d'ailleurs pour refaire leur vie active. Je m'abstiens ici d'en donner les causes car elles sont largement connues cette exode est le fruit des souffrances énormes dont endure les populations Africaines , le traitement dans les salaires et les politiques d'intégrations qui sont faillibles n'encourageant que les castes aux affaires détruisant ainsi un patriotisme des cadres de la révolution africaine pour son entrée dans le concert des nations dites développées.

L'économie est tellement ouverte avec la levée des restrictions aux approches des frontières; les Africains osent tenter leur chance dans ces pays pour se réaliser et se sentir utiles. En occident cet afflux est bénéfique d'autant plus que les compétences dont ils ont besoin ils les trouvent à bon prix et généralement n'ont rien déboursé pour la formation préalable de ces étudiants qui restent servir les entreprises du CAC40 et d'autres groupes.

La fuite des cerveaux des africains vers les groupes attrayants de l'occident ne peut plus être vue comme telle, car dans l'économie globalisée il y a "interchangeabilité" et souvent à l'intérieur des systèmes de production où le cadre de vie est meilleurs; l'Afrique en souffre certes mais c'est une question aujourd'hui de survie personnelle, les politiques n'évoluant point de l'autre côté à la fin chacun des enfants de l'Afrique ne croyant plus au destin collectif préfère se fondre dans cette nouvelle donne où les rêves semblent être réalisables. Le débauchage des intellectuels et cadre au profit de l'occident est un principe simple de l'économie:" celui qui offre plus attire plus" et tant qu'en Afrique le nombrilisme des hommes politiques ne s'étouffera point il est fort probable que ce continent se vide de plus bel de sa jeunesse.

" Si la traite des noirs a enlevé à cette Afrique les plus vaillants de ses enfants aujourd'hui la globalisation donne aux enfants de cette même Afrique le mieux -être les contraignants à rester dans ses contrées" d'où l'on peut plus voir cela comme une fuite de cerveau mais une possibilité de faire se réaliser ailleurs pour soi. Il y a des Africains aux usa en Europe et partout ailleurs qui pourtant n'attendent que l'éclosion de l'Afrique en terme d'opportunités et de positions d'accessibilité à la mise en valeur de la "plus-valu". Toute compétence est utile aujourd'hui partout qui aux dirigeants Africains de mettre en place une politique pour faire revenir ses enfants, au mieux les retenir sur place.Le tribalisme et régionalisme sont des armes qui détruisent massivement l'engouement des jeunes cardes à rester; ou repartir travailler pour le pays. Ceux qui font de la politique une carrière n'ont qu'à changer de logiciels et donc de paradigmes pour voir éclore l'Afrique.

Partager cet article
Repost0

Liens