La croissance tant attendue dans les pays de l'OCDE aujourd'hui ne semble pas au rendez-vous, car le chômage ne cesse de grimper sinon que l'on observe par- ci et par là de la précarité en sus des travailleurs payer au rabais.La machine Européenne est grippée du fait de la non harmonisation des politiques économiques et financières et par conséquent du traitement des travailleurs transnationaux venant soit de la Pologne ou de l'Italie.
Au regard de cette fiche où le BREXIT continue d'inquiéter certaines chancelleries pour ceux des travailleurs non originaires de la grande Bretagne, il est temps pour les décideurs politiques de se montrer vaillants et plus responsables de manière à prendre des en main les problématiques du chômage des jeunes et la reconversion de travailleurs. Si croissance il y a au niveau de l'Europe, l'investissement y suivra et les pays Africains producteurs de matières premières trouverons un bol d'air nouveau pour leurs économies à la seule condition de mener à bien les projets de développement socio économique du continent.
Ce par- avant introductif nous amène ainsi à nous demander s'il n'est pas possible aujourd'hui pour les pouvoirs politiques de regarder du côté de la formation professionnelle et qualifiante des jeunes comme levier de régulation du chômage? Que dire de la mobilité en ce moment là si les centres névralgiques d'emploi se trouvent à des écarts considérables des lieux de vie et de formation?Plus que l'économie se numérise à un rythme effrayant la formation ne suivant pas au sein des entreprises et d'ailleurs de la jeunesse; en effet il s'en sort une adéquation dès l'instant où l'on ne peut trouver des travailleurs qualifiés pour prendre ces emplois.
Oui il est impératif aujourd'hui d'aborder cette thématique en y mettant les moyens dans les infrastructures de formation au niveau des entreprises et aussi faire émerger des structures de formation de jeunes aux nouvelles technologies pour faire face à la demande d'emploi. mais une fois cette application réussie ; il reste celle de la mobilité c'est - à -dire du placement des travailleurs dans des zones proche de l'emploi. Il est inconcevable qu'un travailleur parcourt 4h de route en aller-retour entre son lieu de résidence et poste de travail.
C'est pour quoi une politique à cet effet est imposable au niveau de l'état et des entreprises pour fluidifier, faciliter et rendre confortable cet aspect pour qu'en définitive l'employeur n'éprouve plus le besoin de rechercher loin ceux qui occuperont les nouveaux postes. Mais dans l'autre sens que le travailleur qui a fini sa formation ou le jeune ait le confort mental et/ou physique d'entamer sa journée. Il est impératif que les états s'organisent en similitude avec les régions et les entrepreneurs pour trouver un équilibre de manière à rendre possible la mobilité des travailleurs. trouver du travail et réorganiser sa vie en étant déjà installer quelque part avec une famille n'est pas chose facile sauf pour les jeunes qui n'ont encore pas de vie de famille. Le dire en ces termes est une manière pour nous de faire comprendre aux Politiques ce qu'ils ne perçoivent pas car toutes fois hors des réalités du terrain.
Certes l'on ne mettra pas à chaque jeune un emploi devant sa porte ou sa chambre loin de là; mais il faut faire de sorte que celui qui va travailler se sente en mesure de le faire si déjà les conditions ergonomiques lui sont acceptables. Voilà pour quoi l'assertion selon laquelle " la mobilité des travailleurs et la formation qualifiante des jeunes " sont des critères de réussite à la régulation du chômage de masse.
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